Evolutions (13) - Histoires de Sexe

Evolutions (13)

... petit-déjeuner, et nous mangeons sans échanger une parole, satisfaits de la douce quiétude du moment.

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Lorsque nous avons terminé ce repas matinal, et que la vaisselle a fini dans la machine qui sert à la laver, nous nous rendons dans la salle de bain. Une fois sur place, nous nous brossons les dents, toujours avec le même ustensile, et c’est lorsqu’Alice détache ses cheveux et qu’elle pose son élastique sur le lavabo, que je la coince sans brusquerie contre ce dernier en l’attrapant par la taille. Elle ne proteste pas, se contentant de me regarder à travers le miroir fixé au-dessus de la vasque, avec un petit sourire aux lèvres que je trouve légèrement moqueur. Comme si j’étais un obsédé sexuel, et qu’elle faisait preuve d’indulgence à mon égard par amour pour moi. Par conséquent, j’éprouve le besoin de me justifier :

— Je te rappelle que c’était ton idée...

Puis j’ajoute après une courte pose, sur un ton désabusé tout en la lâchant :

— Maintenant, si tu n’en as plus envie, on va aller directement se laver. Après tout, comme tu me l’as si bien fait remarquer avant-hier, on aura bien d’autres occasions de faire des cochonneries ensemble.

Ma petite ruse marche à merveille, puisqu’elle se cambre aussitôt pour venir coller ses fesses contre moi, puis elle me répond en rougissant :

— Je t’ai aussi dit que j’ai eu envie de sentir ton foutre gicler en moi à la minute où je t’ai vu, et qu’elle ne m’a plus jamais quittée.

C’est demandé si gentiment, que je ...

... serais le dernier des goujats si je ne lui donnais pas satisfaction. Par conséquent, après m’être reculé un peu, je pose cette fois mes mains sur ses fesses, que je commence à caresser tandis qu’elle place les siennes à plat sur le lavabo. En même temps que je palpe son postérieur sur toute sa surface, j’éloigne ses pieds l’un de l’autre en insérant un des miens entre eux, ce qui a pour effet d’écarter ses jambes. Cela permet à mes doigts devenus curieux d’aller cette fois palper sa vulve, que je trouve légèrement moite.

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Bien entendu, pendant cet examen, mon sexe s’est mis à gonfler, puis à se redresser pour finir par se retrouver raide. Alice qui pourtant n’a pas pu le voir, même si elle doit s’en douter, vient l’attraper pour le décalotter d’un geste que je trouve étonnamment assuré, comme si elle possédait un troisième œil au niveau de ses reins. Elle l’a fait avec douceur, et lorsque je marque mon étonnement dû au fait qu’elle l’a trouvé du premier coup, elle me dédie un petit sourire narquois à travers le miroir, avant de me dire comme si elle lisait dans mes pensées :

— Sixième sens féminin, mon Amour.

Puis elle replace sa main là où elle était posée avant, et sans plus me poser de questions, j’enfonce deux de mes propres doigts dans son vagin. Je trouve ce dernier à la fois humide et dilaté, au point que je peux les faire tourner en lui avec facilité, ce qui me surprend à nouveau. Cette fois, c’est moi qui lui fais remarquer :

— Pour être déjà prête, ...