Les débuts avec Paul
Datte: 11/05/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
boitenuit,
nopéné,
ecriv_f,
Auteur: Elodie, Source: Revebebe
... Pourtant, ça m’excitait encore plus de me faire draguer sous les yeux de mon mari. Lorsque mon mari dit : "Elodie, on va prendre le café dans le salon et pendant que tu prépares les tasses, je vais faire la vaisselle". Il me jetait carrément dans ses bras, car j’étais prête à présent à succomber aux avances de son chef.
J’avais peut-être enfin trouvé la perle rare. Je décidais de m’en assurer.
Mon mari n’était pas encore rendu à la cuisine, que Paul me prit par la taille pour m’embrasser dans le cou. Très excitée, je me laissais faire. Nous étions affalés sur le canapé quand j’aperçus Ben qui revenait. Instinctivement, je repoussais Paul, et lui dis :
— Y’a mon mari.
Mais Ben avait disparu. Comme pour me rassurer je criais :
— Tu as besoin d’un coup de main mon chéri ?
— Non, je me débrouille très bien, reste avec notre invité.
J’étais sûre de l’avoir vu et très étonnée de son manque de réaction. Nous avions repris une position plus convenable quand il revint. Nous n’étions plus libres de jouer et petit à petit, mon excitation retomba. Je remarquais que Paul avait l’air contrarié. Je le comprenais, notre petit jeu prenait fin avant même d’avoir commencé. Quelques minutes de conversation superficielle arrivaient à peine à meubler le silence quand Paul s’excusa, il devait rentrer chez lui.
Mon mari eut alors une proposition qui m’estomaqua.
— On ne va pas se quitter si tôt, si nous allions prendre un verre en ville. Je connais un petit piano-bar très ...
... sympa.
Paul et moi échangeâmes un regard discret, et c’est sans nous concerter que nous répondîmes ensemble :
— Excellente idée !
Nous prîmes notre café comme si rien ne s’était passé. Il était impossible que mon mari ne nous ait pas vus, alors pourquoi cette passivité ? N’aurait-il rien dit à cause de cette promotion ? Après tout, je n’avais rien à perdre. Je n’avais qu’à laisser les choses se faire et les orienter à mon avantage. Il était évident que j’avais envie de Paul comme je n’avais jamais désiré aucun homme avant. Etait-ce parce que son physique viril me troublait tant, ou alors était-ce la présence et l’apparente docilité de mon mari qui m’excitait le plus ? Une chose était sûre, lorsque qu’il nous avait proposé d’aller en boîte, une telle bouffée de chaleur avait monté en moi que je m’en étais sentie gênée. Paul, lui, qui avait tout compris en voyant mes joues rosir, jubilait intérieurement. Sa proie était mûre.
Je m’excusai et demandai cinq minutes ? le temps de me changer. Mes deux hommes acceptèrent bien volontiers, et je me retrouvai dans mon dressing devant un petit dilemme. Il fallait que je sois sexy sans en faire trop.
J’optai pour un jean moulant mettant en valeur mon joli derrière et mes longues jambes furent rehaussées par de jolis escarpins nu-pieds rouges. Pour le haut, je choisis un top blanc opaque bras nus avec un décolleté sachant rester correct tout en laissant apercevoir la naissance de mes seins. Ils étaient suffisamment fermes ...