1. Parole de scout !


    Datte: 06/05/2019, Catégories: fh, extracon, extraoffre, vacances, forêt, Oral pénétratio, Humour québec, extraconj, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... fit-elle en stoppant avec juste mon gland en elle.
    
    Grosse grimace de ma part. Elle se pencha pour regarder par les stores.
    
    Une autre grimace…
    
    —Ciboire, mon camion ! s’écria-t-elle. Ah, non !
    
    Je soupirai un peu découragé en me remettant sur un coude pour regarder aussi tout en repoussant un peu ma bite en elle, dents serrées.
    
    Dans la tourmente, je ne vis que les feux arrière du véhicule qui clignotaient, puis à la lueur d’un éclair je vis le meurtre : letransformer avait presque été coupé en deux par un immense sapin déraciné par les vents violents. L’alarme stoppa et les lumières s’éteignirent. Il venait de mourir.
    
    — C’est ce qui arrive quand on boit trop ! dis-je tout bas.
    — Quoi ?
    — Hum ! Rien.
    — Merde ! fit-elle en se rassoyant d’un coup sur ma bite.
    
    Oufff…
    
    — Doucement, Marie… fis-je en refermant mes doigts sur ses cuisses comme des serres.
    — Houps ! Désolée, Paul.Maudit ! Ça faisait juste une semaine que je l’avais.
    
    Elle se pencha sur moi pour allumer une petite veilleuse sur le mur. Comme ses seins se baladaient juste au-dessus de mon visage, je voulus les amener à ma bouche, mais elle se redressa. Merde !
    
    Gros soupir en pliant et dépliant les orteils, car chacun de ses mouvements agaçait mon membre terriblement.
    
    C’est à peine si la minuscule ampoule jaune perçait les ténèbres, mais c’était suffisant pour mieux distinguer son corps de rêve.
    
    — T’as des assurances ?
    — Ben oui, c’est sûr, mais ça fait chier. Pis j’ai un ...
    ... rendez-vous important demain matin, en plus.
    
    Gros soupir de découragement.
    
    — Je verrai, tant pis.
    
    Là, elle regarda le plafond en se grignotant un ongle un bras sous ses seins. Moi, je me languissais de ne pas pouvoir bouger. D’habitude c’est pas si compliqué de baiser une fille, y me semble…
    
    Puis, elle me regarda inquiète.
    
    — On n’est pas en sécurité ici, Paul !
    — Non, mais… y a rien de mieux aux alentours de toute façon. Aucun ancien bunker allemand comme dans les vieux pays ou d’abris contre les tornades ou antiatomiques comme dans certains campings aux États-Unis. Pis on n’a pas d’autre voiture. Pis le chemin doit être barré par des arbres ou des branches cassées.
    — Hum, t’as raison.
    — Comme on ne peut rien y faire, on pourrait peut-être… eh… finir ce qu’on a commencé. Mon petit monsieur, lui, est bien au chaud dans un petit abri bien douillet et bien humide. Mourir dans les bras de la plus belle femme de l’Histoire de l’Humanité, ce serait bien quand même !
    
    Gros sourire de Marie, surprise. Elle me fit des yeux doux qui me donnèrent la chair de poule.
    
    J’ai le tourpareil avec les filles.
    
    — Wow ! Paul, pour un gars timide sais-tu… Mais de l’histoire du Québec ça aurait été suffisant.
    — Of ! fis-je, feignant la modestie une main en l’air comme pour faire stopper un train.
    — Comme ça ton petit monsieur est bien là ? fit-elle coquine en pointant son pubis et remuant le cul.
    — Oui, pas mal… Oufff…
    — Ben voyons, Paul, fit-elle drôlement, y est pas petit ton ...
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