1. Parole de scout !


    Datte: 06/05/2019, Catégories: fh, extracon, extraoffre, vacances, forêt, Oral pénétratio, Humour québec, extraconj, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... pénis… Y est juste bien…
    — Merci !
    
    Là elle me regarda drôlement tête penchée, sourire aux lèvres, et se mit à me tapoter les mamelons avec ses index en faisant des petites mimiques de gamine. Drôle de fille, et ça me faisait mal, ils étaient encore douloureux.
    
    La femme si sérieuse, si brillante, faisant la petitenonote. Bizarre et bandant à mort.
    
    —C’est cute tes petites zébrures tout partout. On dirait vraiment qu’on t’a fouetté, Paul.
    — Outch ! fis-je en lui agrippant les doigts.
    — Et que t’esmoumoune ! fit-elleagace avec un large sourire. Monsieur muscle, lui, aurait aimé ça. Ah ! ben, j’y pense, y vient justement demain matin pour mon camion. Good, chut sauvée, Paul, si Pierrette n’est pas revenue, je vais avoirun pouce pour aller au village. Hum, le beau monsieur tout musclé…
    — Si y arrive à passer ! dis-je en arborant un petit sourire de gamin qui vient de faire un mauvais coup.
    — Chut pas inquiète, fit-elle rêveuse, je l’imagine torse nu, en sueur, avec une grosse scie à chaîne dans les mains se frayant un passage jusqu’ici pour sauver la belle Marie Lemieux. Hum !
    
    Elle dit ça pour me provoquer en secouant la tête, tout sourire, sourcils relevés, me fixant les yeux brillants. Les femmes aiment ça, jouer la carte de la jalousie pour nous rendre plus vigoureux ; et ça fonctionna et au-delà de ses espérances.
    
    Ma main droite se referma avec force sur son sein gauche – grosse surprise sur le visage de miss télé –, la droite sur sa nuque et je la soulevai ...
    ... sans effort, malgré mon dos. Ma bite toujours en elle, je la retournai tandis qu’elle criait et la laissai retomber sur le dos. J’arrachai l’oreiller de sous sa tête pour le lui fourrer sous les reins. Quelque chose tomba par terre. Je plaçai ses mollets sur mes épaules et m’agrippai à ses seins comme si ma vie en dépendait pour la besogner comme un dément.
    
    — Ah, oui ! fit-elle aussitôt les yeux clos et se mordillant les lèvres.Christ ! Oui, oh ! Paul…
    
    La voir comme ça me fit redoubler d’efforts.
    
    Chaque fois que mon bas-ventre frappait bruyamment le dos de ses cuisses, tout son corps de déesse en tremblait. Ses poings serraient le drap tandis que je la fourrais avec l’énergie du désespoir, car je voulais jouir en elle avant de mourir comme letransformer. Avec la journée que j’avais connue, je ne serais pas étonné qu’un arbre de deux tonnes me casse les reins.
    
    Je la baisais en réalisant la chance que j’avais. Je ne me lassais pas d’admirer son corps en sueur et son doux visage déformé par le plaisir à la lueur de la petite veilleuse et des éclairs qui se calmaient un peu.
    
    Je lâchai ses seins pour caresser ses longues cuisses musclées un moment.
    
    Ma bite allait et venait tantôt lentement, tantôt rapidement dans son sexe bien lubrifié et c’était fabuleux, enivrant de baiser une fille pareille.
    
    Et là, j’entendis quelque chose de si étrange que je faillis en pleurer. Maudite journée de fou !
    
    C’était Dominique Michel qui chantait… « En veillant sur le perron ...
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