1. Parole de scout !


    Datte: 06/05/2019, Catégories: fh, extracon, extraoffre, vacances, forêt, Oral pénétratio, Humour québec, extraconj, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... J’y étais !
    
    J’en frémissais de plaisir, un plaisir animal. L’intello en moi s’était volatilisé. Je n’étais plus qu’une bête, un préhumain qui salivait d’envie devant une femelle, et une des plus belles qui soient, la plus bandante de la tribu. Quelle fierté !
    
    « C’est pas encore fait », me dit cette damnée voix.
    
    « Ta gueule ! » hurlai-je mentalement.
    
    « Cette fille-là est dangereuse… »
    
    « OK ! OK ! »
    
    Je frémis malgré moi, mais j’avais fermé le propane, alors… Et c’est pas un petit ouragan qui allait m’empêcher de la baiser, enfin, plutôt de me faire baiser, comme c’était parti.
    
    Des trombes d’eau s’abattaient sur la forêt et la roulotte, c’en était assourdissant tout en rendant ce moment magique plus intime, mais surtout plus humide. On était encore tout trempés tous les deux et le taux d’humidité devait être à 200 %.
    
    Il faisait si noir à présent que je ne voyais pratiquement d’elle que les marques blanches de son bikini qu’elle devait porter plus souvent que son une-pièce, mais quand un éclair déchirait le ciel, là j’admirais son corps aux proportions parfaites même pour une femme de 51 ans. Quand le noir revenait, avec ses petites tresses mouillées, on aurait juré une adolescente. Un mélange de bombe mature et d’ado, que demander de plus ? Ma queue était si dure que je me sentais capable de perforer un trou dans une plaque d’acier.
    
    Elle ne souriait plus, maintenant, visiblement, elle était tout aussi excitée que moi et me fixait les yeux mi-clos ...
    ... bouche entrouverte à genoux au-dessus de ma bite, me laissant un moment pour caresser ses longues cuisses, son ventre un peu mou et finalement sa poitrine douce, chaude et encore ferme pour son âge avec ses pointes tendues que j’agaçai timidement. Mes mains pressaient et soulevaient ses seins lourds dont j’avais tant rêvé, dont tellement d’hommes avaient dû rêver devant leur télé. Elle, elle me caressait les cuisses fraîchement rasées et semblait apprécier.
    
    — T’es tellement belle, soupirai-je.
    — Hum ! fit-elle tout bas. Pis toute à toé, Paul. Maudites belles cuisses !
    
    D’entendre sa voix plus basse et plus rauque qu’à l’habitude me fit saliver.
    
    Puis elle soupira doucement en agrippant fortement mon sexe entre ses cuisses tout en se penchant pour plaquer ses lèvres pleines, si douces et humides sur les miennes. Moment magique. Nos dents se cognèrent.
    
    Outch !
    
    Je posai une main sur sa nuque, l’autre sur ses cheveux mouillés.
    
    Sa langue pointue se faufila dans ma bouche et on sefrencha frénétiquement, pendant qu’elle frottait mon gland un peu trop durement contre son sexe d’avant en arrière, du pubis à la craque de fesses attendant sans doute d’être bien mouillée pour le pousser à l’intérieur du vagin. Elle en profitait aussi pour s’agacer le clitoris au passage et c’était un peu douloureux. Mon gland était si sensible que je sentais très bien son petit bouton et presque chacun de ses poils pubiens. Nos langues humides s’agitaient furieusement l’une contre l’autre ...
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