1. Parole de scout !


    Datte: 06/05/2019, Catégories: fh, extracon, extraoffre, vacances, forêt, Oral pénétratio, Humour québec, extraconj, camping, Auteur: Ingyt, Source: Revebebe

    ... camping qui filait comme un missile à travers les sapins rudement secoués par les vents violents et la pluie. Je crus voir aussi un canoë rempli de pêcheurs apeurés volant dans le ciel, emporté par l’orage, mais j’avais dû rêver.
    
    — Juste une chaise qui vole, la mienne je pense, dis-je en lâchant les stores et me laissant retomber sur le dos, penaud, mains sur ses cuisses en lui faisant des petits yeux qui imploraient son pardon.
    
    Enfin je l’espérais.
    
    — Ah ! fit-elle en lâchant ses seins pour m’agripper les mamelons avec ses pouces et ses index et me les tordre méchamment d’un bon demi-tour.
    — Outch ! lâchai-je les orteils crispés en bandant plus dur encore comme si c’était possible.
    — Je veux le film.
    — OK !
    — Pas de copie ?
    — Non !
    — Tu ne recommenceras pas ?
    
    Un autre demi-tour. Outch !
    
    — Parole de scout ! Tu vas me les arracher.
    — Tu le mériterais, voyeur !
    
    Là, elle rit et rajouta :
    
    — T’aurais pas mis ça sur Internet, j’espère ?
    
    Un autre demi-tour.
    
    C’est pas possible, a me les dévisse !
    
    — Non !
    — Non (un petit silence tandis que ces yeux me scrutaient intensément) je sais, c’est pas ton genre… Je le vois dans tes yeux. Ça fait 20 ans que j’interviewe des gens, je le sais quand on me ment.
    
    Elle lâcha mes mamelons douloureux, je me les frottai en grimaçant. Elle me regardait en souriant, mains sur ses cuisses en bougeant un peu les hanches.
    
    — Je n’aurais jamais fait ça, Marie.
    — Je te crois…
    — Merci !
    — Parole de scout ! ...
    ... Seigneur, Paul ! Je n’ai pas entendu ça depuis la petite école.
    — Une parole de scout c’est sacré.
    
    Elle rit encore.
    
    — Hum ! Ton pénis est plus dur.
    — C’est la peur.
    
    Elle rit plus fort, si belle.
    
    — Woush ! Woush ! fit-elle soudainement mains en l’air doigts écartés.
    
    Petit Jésus ! Tout mon corps se raidit. À la lueur des éclairs, on aurait juré un démon.
    
    — Hum, ça marche, dit-elle en commençant à se fourrer lentement tout en me plaquant les mains sur ses seins me faisant lui caresser avec force.
    
    Ouf ! Je m’en étais sorti pas si mal finalement. Mais je lui avais un peu menti quand même. Moi, ça faisait 30 ans que je sortais avec des filles, même plus.
    
    Son sourire disparut et elle commença à gémir bouche entrouverte en me chevauchant.
    
    « Je te l’avais dit, avec elle c’est pas évident… » fit la petite voix.
    
    « Ça, je le sais, ta gueule ! »
    
    Elle se baisait lentement en se déhanchant merveilleusement, menton en l’air en geignant tout bas, une vraie torture. J’ai toujours été incapable de venir dans cette position. J’endurai mon mal en silence. Je ne me lassais pas de palper ses seins, son ventre, sa toison pubienne ovale, brune, presque noire si douce et ses cuisses, la laissant prendre son plaisir. J’allais caresser son pubis du pouce pour peut-être la faire jouir, mais là un craquement sinistre se fit entendre. Je pensai aussitôt à mes genoux, mais un bruit infernal suivit aussitôt quelque part près de la roulotte, puis une alarme d’auto.
    
    — Oh, non ! ...
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