Naturibus et autres fantaisies
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fsoumise,
photofilm,
pénétratio,
fouetfesse,
extraconj,
cocucont,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... et de me soumettre à un mâle alpha. Je me suis documentée sur ce concept, et je reconnais que ce n’est pas faux, en ce qui me concerne. Il m’a fallu tout ce temps pour réaliser que j’avais l’âme d’une soumise, mais pas à n’importe qui.
André — Jeudi matin
Sylvie est déjà arrivée au boulot, ça tombe bien, je vais aller lui rendre une petite visite, voire même m’envoyer en l’air avec elle, comme les autres jours. Je toque à sa porte par pure formalité puis j’entre. Elle me gronde faussement :
— Vous auriez pu attendre que je vous dise d’entrer !
— D’accord, d’accord. Dans ce cas, je vous demande la permission de vous embrasser…
— Vous êtes un gros idiot !
— Holà ! Faute professionnelle grave ! Traiter d’idiot son patron adoré, ça va chercher loin !
Elle se contente rire, puis me tend ses lèvres. Comme il ne faut jamais faire attendre une femme, je m’exécute, et je l’embrasse longuement. Puis une fois nos lèvres décollées, je lui demande :
— Alors, votre mari a aimé les photos ?
— C’est le moins qu’on puisse dire !
Et elle me raconte qu’il en a éjaculé dans son slip en les voyant et que tard dans la nuit, elle l’a surpris en train de se masturber devant ces mêmes photos.
— Eh bé ! C’est un cas, votre mari !
— À qui le dites-vous ! Quelque part, ça me déçoit de lui…
— Pourquoi ? Il vous autorise à le cocufier avec moi. Que demander de plus ?
— Je ne voudrais pas vous mettre sur un piédestal, mais entre lui et vous, y a pas photo !
Ravi de cette ...
... affirmation, je m’exclame :
— C’est le moins qu’on puisse dire !
Puis me penchant sur elle, je l’embrasse à nouveau. Et bien sûr, elle se laisse faire, répondant à mon baiser. Je sens que la journée commence bien !
Je la garde dans mes bras pour lui dire :
— Ce matin, je dois encore être en clientèle…
— Tant mieux, ça me fera un peu de repos !
— Ah bon ? Comment ça ?
— J’adore votre bite, cher patron adoré, mais mes dossiers n’avancent pas !
— Vous vous dévergondez, ma jolie secrétaire ! Vous méritez que je vous fasse subir les dernières infamies, allongée sur votre bureau !
— Mais vous ne pourrez pas, car vous devez partir tôt en clientèle et qu’il y a déjà du monde qui arrive. Si, si ! Écoutez bien…
— Pff, pourquoi faut-il que vous ayez raison !
Elle pose son doigt sur mes lèvres :
— Allez, Monsieur le gros vilain bandard, veuillez me lâcher !
— Moi, un bandard ?
— Oui, vous un bandard ! Vous croyez peut-être que je ne sens pas comme un gros machin en bas de mon ventre ?
— Si vous le suciez un petit peu, il se dégonflera…
— Ce serait avec plaisir, mais je vous rappelle que nous allons avoir de la visite…
Je jette un coup d’œil vers la porte. En effet, je vois poindre vers nous des silhouettes à travers le verre dépoli. Je la lâche avec regret, puis je m’empare d’un dossier pour faire bonne contenance. Quelques secondes plus tard, divers employés viennent nous saluer, et me demander diverses petites choses. Durant ce temps, ma chère secrétaire ...