1. Naturibus et autres fantaisies


    Datte: 05/05/2019, Catégories: fh, extracon, cocus, grossexe, fsoumise, photofilm, pénétratio, fouetfesse, extraconj, cocucont, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    Résumé des épisodes précédents :
    
    «Un certain dimanche »
    
    «Un certain mercredi »
    
    «Un certain jeudi »
    
    «Un certain vendredi et autres jours suivants »
    
    Sylvie a accepté de devenir la maîtresse d’André, son patron, avec la bénédiction de Pascal, son mari, qui fantasme sur le candaulisme. Ce qui n’est pas évident, car le patron est un obsédé bien décidé à profiter de sa bonne fortune et donc de cette pauvre Sylvie…Petit rappel, cette histoire se situe au milieu des années 80.
    
    Sylvie — Repas à deux
    
    Une fois de plus, ce mercredi midi, je déjeune avec mon patron. Quand il m’avait dit que nous avions la semaine rien qu’à nous, il ne mentait pas ! Il est vrai que sa femme est loin, au Portugal. Et que lundi, ça a été ma fête ! Mon petit cul en a su quelque chose ! Même si, au final, malgré une appréhension certaine, j’ai beaucoup aimé…
    
    Comme j’ai beaucoup aimé la mini-séance de ce matin. Mon gros cochon de patron m’a démontré une fois de plus qu’il était assez impatient envers ma petite personne. Il s’est littéralement rué sur moi quand je suis arrivée ce matin. Nous avons fait l’amour deux fois de suite. Il aurait bien aimé une troisième fois, mais des importuns traînaient dans les bureaux. Et comme hier, il est reparti avec ma petite culotte en poche ! Bref, quelque chose me dit que la journée n’est pas finie et que mon amant n’en a pas fini avec moi !
    
    Comparativement à lundi, la journée d’hier a été plutôt calme, ce qui m’a procuré un peu de repos. Mon ...
    ... patron a dû partir en clientèle toute la journée ou presque, ce qui ne l’a pas empêché de me posséder carrément sur son bureau, au petit matin, juste avant de partir, avec en poche ma petite culotte. Ce fut très bon, très excitant, ce mélange entre petit coup rapide et crainte d’être surpris. Puis il a dû partir et je ne l’ai plus revu. Néanmoins, j’ai eu droit à divers petits coups de fil de sa part, des petits coups de fil salaces dans lesquels il se languissait de moi et me décrivait ce qu’il fantasmait sur ma frêle petite personne innocente. Oui, c’est un plaisir d’être la maîtresse d’un tel homme ! Du coup, mon mari me semble bien fade.
    
    Fade, ce n’est pas le mot que j’emploierai pour le plat que je suis en train de manger ! Par pure formalité, André me demande :
    
    — Alors, Sylvie, c’est bon ?
    — Ah bon, très bon ! J’adore ! C’est la première fois que je mange ce genre de chose ! Et ça s’appelle comment ?
    — Un welsch. À l’origine, c’est un plat gallois, qui contient du cheddar fondu, avec une tranche de pain grillé au fond et un œuf par-dessus le tout. Mais c’est aussi devenu un plat assez répandu dans les restaurants de la Côte d’Opale, Boulogne par exemple, ou Dunkerque.
    — Et on y trempe vraiment ses frites ?
    — Oui, exactement comme vous le faites.
    
    Je me mets à rire :
    
    — Je me demande comment j’ai pu vivre sans connaître ce plat !
    — Je vois ça ! Vous avez déjà presque fini ! Vous en voulez un deuxième ?
    — Par pure gourmandise, je dirais bien oui, mais je risque ...
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