Naturibus et autres fantaisies
Datte: 05/05/2019,
Catégories:
fh,
extracon,
cocus,
grossexe,
fsoumise,
photofilm,
pénétratio,
fouetfesse,
extraconj,
cocucont,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... voluptueusement son dos, le creux de ses reins puis ses fesses. Puis je viens me frotter sur son mignon cul tandis que ma main s’en va dénicher un petit bouton rose caché dans son nid. Il ne me faut pas bien longtemps pour titiller celui-ci et aussi trouver l’entrée lovée entre ses lèvres intimes. Même si le passage est étroit, j’entre avec une certaine facilité, aidée par l’abondante cyprine que ma docile secrétaire sécrète !
Elle soupire d’aise, à la fois sous ma caresse insidieuse, et par le fait d’être comblée par mon gros engin qui la pistonne déjà. D’ailleurs, elle tend ostensiblement les fesses afin que je puisse mieux la pénétrer ! C’est alors que j’en profite pour lui capturer un sein. Avant de me laisser aller complètement, je pense à ces voitures qui passent là-bas, en bout de champ. Est-ce qu’elles nous voient ? Peu importe ! Du moment que je peux profiter de ce corps offert à ma concupiscence, c’est le principal !
Ma préoccupation, c’est cette délicieuse chatte étroite dans laquelle je suis fourré. Elle est accueillante, chaude, humide, un régal ! Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer dans cet antre si avenant tandis que je l’entends jouir en même temps que moi. Je me plais à lui déverser des litres de foutre, à l’inonder, pour la remplir encore et encore, afin qu’elle déborde de partout !
Sylvie — Flashback
Tout à l’heure, dans le bois, ça a été épique ! J’ai déjà bien joui avec André, mais cette fois-là, j’ai vu des étoiles partout ! J’avais ...
... presque envie de hurler, d’ameuter tout le monde, de faire venir les voitures jusqu’à moi pour leur faire constater à quel point j’étais bien baisée par mon patron ! Je sens que je deviens de plus en plus dévergondée !
J’ai pu donner les photos du bois à mon mari. André connaissait une machine à développement rapide. En effet, moins d’une heure plus tard, j’ai pu contempler sur ces photos à quel point j’étais devenue le jouet sexuel de mon patron, c’est effrayant.
Mon mari a été fasciné, à tel point qu’il en a éjaculé dans son slip au bout de quelques photos. C’est alors que je me suis surprise à le regarder avec un peu de pitié. Nous avons néanmoins fait l’amour ensuite ; ce fut agréable, oui, mais pas autant qu’avec mon amant. Un peu la même différence entre un bon welsch et un bout de fromage sur une tartine beurrée.
En pleine nuit, j’ai constaté que mon mari n’était plus à côté de moi. Intriguée, je me suis levée, puis j’ai vu de la lumière dans le bureau. Me cachant, j’ai jeté un petit coup d’œil pour voir ce qu’il faisait. C’est alors que j’ai découvert qu’il était purement et simplement en train de se branler en regardant les photos faites dans le bois.
J’ai préféré aller me recoucher sans bruit, mais mon estime pour Pascal était, une nouvelle fois, descendue d’un cran. Étrange situation que la mienne, et que la vie est mal fichue. Même si je suis sa maîtresse, son jouet sexuel, je me sens nettement mieux avec André. Ça doit être dans ma nature que d’apprécier ...