Naturibus et autres fantaisies - Histoires de Sexe

Naturibus et autres fantaisies

... contente de sourire, attendant visiblement la suite. Regardant attentivement l’endroit où nous sommes, je finis par installer le trépied sur lequel l’appareil photo est déjà vissé. Puis ceci fait, je prends à nouveau en main la suite des opérations :

— Pour commencer, enlevez-moi cette jupe qui me cache votre beau cul.
— Je garde le haut ?
— Maintenant que vous le dites… enlevez tout, ne gardez que vos chaussures. Donnez-moi vos vêtements, je les mettrai en sécurité.

Sous mon regard attentif, elle se déshabille lentement, elle commence à savoir jouer avec moi. Puis elle me tend ses habits que j’accroche sur une branche nue sans aspérité ni mousse. Tandis qu’elle reste debout, nue et immobile, j’en profite pour en faire le tour, lentement, histoire de ne louper aucun détail de sa délicieuse anatomie.

Soudain, elle me pose une question :

— Depuis tout à l’heure, j’entends des clics. C’est cet appareil photo ?
— Oui, celui-ci possède une radiocommande, un gadget encore assez rare, mais utile.
— C’est pour ça que vous mettez souvent votre main dans la poche de votre pantalon ?
— Bien observé. Et avec ceci, je vais pouvoir accomplir ma part de marché envers votre époux qui désire quelques preuves de son cocufiage.

Elle se contente de sourire. Ma main caresse au passage son ventre, sa hanche, le creux de son dos pour revenir sur son ventre avant de remonter plus haut pour capturer un sein tout doux.

— Quand je pense que j’ai dû me passer de tout ça ...

... pendant tout ce temps ! Pourtant, vous travaillez pour moi depuis une bonne année, et c’est, il y a à peine un mois, que j’ai enfin ouvert les yeux sur vous !
— Pourtant, j’étais sous votre nez…
— Je sais, je sais, ne remuez pas le couteau dans la plaie !
— Bah, vous aviez déjà une autre maîtresse, sans oublier votre femme…
— Un lapsus révélateur ? Vous venez de dire « déjà une autre maîtresse », donc vous vous comptez dans le lot de mes maîtresses ?
— Pff ! Je ne dirai plus rien !

Et elle se tait, serrant ostensiblement les lèvres pour qu’aucun son n’en sorte…

— Si vous fermez les lèvres comme ça, je ne vais pas vous entendre jouir, et j’adore vous entendre jouir, vous entendre pousser vos petits cris de plaisir !

Elle rougit, mais n’ouvre toujours pas la bouche. Je tourne deux fois autour d’elle, sans oublier, bien sûr, de la caresser comme il se doit. Il faut toujours profiter des courbes offertes par les femmes et tout de suite, car la procrastination, ça vous joue en général des sales tours.Carpe diem, disaient les Anciens et ils avaient raison !

— Puisque vous vous la jouez ainsi, soit…

Je la prends par les épaules pour la guider vers un arbre proche du champ. Je pose ses mains sur le tronc d’arbre, j’écarte un peu ses jambes pour faciliter l’accès, et j’appuie sur son dos afin qu’elle se penche un peu. Puis, résolument, tout en ouvrant ma braguette, je me poste juste derrière elle. Inutile de dire que mon engin est déjà au garde-à-vous !

Je caresse ...