Police polissonne (7)
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... elle ne l’aide pas, Katia se bloquera et plus rien ne pourra la libérer de son fardeau ; alors elle tente une nouvelle expérience et dit au toubib :
— Mets-lui ta main dans la chatte !
Le toubib commence à doigter la vulve, et Katia roule des hanches. La psy offre son autre téton aux dents de Katia et elle commence à lui tordre les tétons ; Katia mord et les deux femmes crient sous la douleur.
— AïïïE !... Vas-y Pierre enfonce ta main, Ouiii... ! C’est «le Boss », il m’a dit que j’allais subir une épreuve.
Elle prend une grande inspiration et :
— C’était le soir, il faisait nuit, il m’a pris par la main et m’a entraîné dans une ruelle en cul-de-sac. Au fond il y avait un homme, ensuite tout est allé très vite : « Le Boss » lui a crié :
« Mon fric donne-moi mon fric ! ».
Le gars lui a répondu qu’il ne l’avait pas et lui a demandé de patienter quelques jours, mais l’autre lui a dit de se mettre à genoux les mains sur la tête. J’ai vu le type s’agenouiller et suppliant de ne pas lui faire de mal, qu’il allait payer. Alors l’autre con a sorti un flingue et me l’a tendu en le tenant par le canon en me disant :
« Descends-le ! »
J’ai refusé, je lui ai dit que je ne le connaissais pas et qu’il ne m’avait rien fait. Alors il m’a hurlé dessus en me disant que je n’étais qu’une mauviette et que si je ne le flinguais pas, il le ferait et qu’après ce serait mon tour. J’ai eu très peur, j’étais paralysée par la peur, je n’arrivais plus à sortir le moindre mot ; ...
... je tremblais comme une feuille avec ce flingue dans les mains. Alors il me l’a arraché des mains et il y eut un coup de feu. J’ai vu l’homme tomber, touché en pleine tête, il y avait du sang partout, j’ai hurlé, je me suis recroquevillée sur moi-même, je me suis cachée le visage en attendant le coup qui allait me tuer. En une fraction de seconde, toute ma vie défila devant mes yeux, j’ai pensé à Maman ; il y a eu la sirène de police. Il m’a mis le revolver dans la main, il était brûlant et je l’ai serré contre moi ; peut-être pour qu’il ne le reprenne pas. Puis il y a eu des bruits de pas de course, comme quelqu’un qui s’enfuyait, un long silence, et après il y avait ces cris :
« Police ! Ne bouge pas ! Pose ton flingue doucement ! Et main sur la tête ! Main sur la tête, j’ai dit ! »
À ce moment j’ai compris que j’étais foutue, tout était contre moi ; alors j’ai posé le revolver au sol et j’ai levé les bras. J’ai reconnu l’inspecteur Morard, j’étais presque soulagée, il m’a passé les menottes et me disant : « Tiens Noémie, comme on se retrouve ! » et me voilà.
Katia vient de se libérer de ce fardeau qui lui pesait sur la conscience, elle éclate en sanglots ; la psy fait signe au toubib de tout arrêter, elle aide Katia à se relever et l’enserre dans ces bras.
— Vas-y pleure, laisse-toi aller...
La psy reste un long moment en tenant Katia dans ses bras ; le toubib se rhabille et retourne à son bureau, s’installe à l’ordinateur et tape sur le clavier.
— C’n’est ...