Police polissonne (7)
Datte: 28/04/2019,
Catégories:
Divers,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... retourne alors vers le phallus tendu comme un gourdin, l’embouche, en aspire le liquide lubrificateur et le dépose délicatement sur le gland violacé. Jugeant que la quantité de lubrifiant est suffisante, elle saute et s’installe sur la table d’examen, rapidement transformée et équipée des appuis pour les jambes. Installée en bonne position, elle exhibe impudiquement la totalité de son anatomie au toubib ; cette posture lui fait plaisir et lui donne même envie d’être ...
— Attachez-moi !
Sans un mot, le toubib lui sangle les jambes aux supports ; Anne se place derrière elle, se penche en avant, présente son téton droit devant la bouche de Katia et lui dit :
— Tu vas me mordre le téton et moi, je vais te pincer les tiens ; plus tu me feras mal et plus je serrerai, surtout laisse-toi aller et tu vas parler rapidement, j’en suis certaine.
Katia, un peu septique sur la question, saisit le téton entre ses dents, Anne attrape ceux de Katia et le toubib commence à l’enculer. La pénétration est douloureuse, ses tétons lui font mal, elle mord, plus elle mord et plus Anne pince jusqu’à ce qu’un phénomène étrange se passe dans sa tête. Sous les coups de piston du toubib, elle a le sentiment que dans sa tête un mur s’écroule accompagné d’un mélange de douleur et de plaisir intense, et sans attendre que la psy ne pose de questions, elle lâche un cri et le téton d’Anne.
— Ah ... ! Ça fait mal !... Non c’n’est pas comme ça que ça s’est passé, c’est lui qui a tiré ! ...
... Aidez-moi !
— Parle, Katia ... parle, dit Anne.
Le toubib lui enfonce son dard au fond de ses entrailles. Anne regarde Katia les yeux dans les yeux, la psy cherche à fouiller dans la mémoire de Katia. Et elle pince fort le bout de seins déjà bien écrasé et Katia parle.
À mi-voix, elle raconte et dévoile des faits qu’elle n’a jamais avoués, ni même fait allusion à personne. Elle parle de sa souffrance après sa fuite, de la peur d’avoir tué son père, de la faim, de la saleté, de la prostitution pour manger, et puis ce mec : « Le Boss ».Elle ferme les yeux, bombe le torse, se cambre et cherche à s’enfoncer encore plus sur le dard du toubib puis elle se livre :
— C’est lui, c’est «le Boss » qui a tiré.
— Vas-y raconte depuis le début, dit Anne.
— Je l’ai rencontré par hasard dans un café, j’avais faim et il m’a offert un casse-dalle et une bière ; puis il m’a fait miroiter plein de belles choses, les belles tenues, les restos, la grande vie quoi ; c’est ce qu’il fit au début. Ensuite, il m’emmena lorsqu’il jouait au poker dans un tripot clandestin, jusqu’au jour où il a commencé à m’offrir pour une nuit au gagnant de la partie. J’avais beau protester, mais il me menaça de me mettre sur le trottoir après être passé à la maison d’abattage si je ne lui obéissais pas ; alors j’ai cédé. Puis il y eut le jour de mon arrestation...
Brutalement Katia se tait, la psy sent que cela devient difficile pour Katia alors elle décide de l’aider à exorciser ces pensées. Elle sait que si ...