Police polissonne (7) - Histoires de Sexe

Police polissonne (7)

... pas moi qui ai tué ce type, faut me croire...

— Je te crois Katia, je te crois... Viens nous allons prendre une bonne douche et cela va te calmer.

Katia est alors complètement vidée, mais soulagée. Pour elles ce sont des barrières qui viennent de s’ouvrir, un mur qui vient de s’écrouler ; elle se sent étrangement bien et c’est avec un certain plaisir qu’elle se laisse guider vers la salle d’eau. Anne l’invite à entrer avec elle dans la cabine de douche et ouvre l’eau ; une pluie tiède cascade sur leur peau. Katia admire le corps nu d’Anne, envie ses courbes harmonieuses ; elle s’imagine avec les mêmes muscles : avoir des bras, des jambes, et des abdos gracieusement dessinés. Elle veut ressembler à cette femme à l’allure sportive mais si féminine. Mais ce qui l’attire le plus c’est cette poitrine aux seins bien ronds et fermes. Son regard s’arrête sur les tétons proéminents et durs, l’un porte encore la marque de ses dents, elle voudrait les toucher pour se faire pardonner de les avoir mordus si fort.

Anne se savonne déjà les mains et les passe délicatement sur le corps de Katia qui se colle dos contre la paroi de la cabine et ferme les yeux. Anne insiste avec une grande douceur sur les seins et les tétons encore endoloris par ce qu’ils viennent de subir. Elle s’attarde sur le visage encore rougi par les larmes, passe ses pouces sur les joues, puis les sourcils, descend ses mains le long des épaules et jusqu’au bout des doigts. Puis elles remontent le long des ...

... cuisses, enrobent les fesses et passe devant en s’arrêtant sur ce Mont de Vénus aux poils tout mouillés. Katia écarte les jambes, c’est une invitation au plaisir ; Anne l’a compris et l’invite de la main à toucher aussi le même endroit. Katia sent maintenant les pointes des seins de la psy contre les siens et aussi une langue qui vient doucement effleurer ses lèvres, qu’elle ouvre et laisse entrer cette langue indiscrète. Quand les doigts effleurent son bouton, une douce chaleur l’envahit, son ventre brûle d’impatience ; alors elle enfonce ses doigts dans la vulve de la psy. Elles gémissent en silence et leur souffle s’arrête un instant quand la foudre frappe leur corps et se transforment en un incendie de plaisir. Puis elles restent ainsi comme deux amantes à savourer ce plaisir saphique d’un instant. Anne, après quelques instants, dépose un baiser sur les lèvres de Katia, lui caresse la joue et lui dit :

— Voilà ma belle nous avons terminé, rince-toi, je vais chercher tes vêtements et rejoins-nous dès que tu seras prête.

Pendant que Katia termine de se préparer, les deux médecins se consultent et prennent une décision. Katia est prête et les rejoint, ils sont surpris de découvrir une jeune femme au visage resplendissant de bonheur, et impressionnés par sa capacité de récupération après ces moments difficiles.

L’alerte : « Nouveau message » de l’ordinateur du toubib sonne. Il ouvre la fenêtre, clique et reclique, l’imprimante sort une, puis deux feuilles rectos versos ; il ...