Police polissonne (7) - Histoires de Sexe

Police polissonne (7)

Anne, la psy, et Pierre, le médecin, tirent les conclusions de cette expérience. Le bilan est d’une évidence incontestable : le fait d’être nu et d’ajouter un plaisir sexuel, permet de se libérer totalement et de faciliter la communication. Anne fait également remarquer à son confrère que Katia a joui au moment même où elle a parlé des violences physiques qu’elle avait subies, donc Katia aime la violence et la suppose quelque peu masochiste. Elle propose au toubib de tenter une seconde expérience, car des doutes subsistent encore ; cette fois le teste sera plus poussé, elle s’adresse à Katia.

— Katia ! Tu peux nous rejoindre ?

— Oui bien sûr, excusez-moi pour mon comportement ; mais...

— Ne t’excuse pas, reprend Anne, car je suis extrêmement satisfaite de cette expérience et je voudrais, si tu es d’accord, en tenter une seconde.

— Du même genre ?

— Oui.

— Alors, c’est d’accord ; et je fais quoi ?

— Tout d’abord, je suis certaine que tu n’as pas encore tout dit, il y a des moments où tu as hésité et tu t’es perdue dans des explications totalement illogiques. Un poids pèse encore sur ta conscience, je suis persuadée que tu caches quelque chose ; sans doute par peur ou je ne sais quoi, je me trompe ?

— Non, mais je ne peux pas le dire...

— Alors nous allons essayer de t’aider à te libérer totalement.

— Je crois que cela va être très compliqué...

— Essaie de faire un effort. Dis-moi, quelle est la partie de ton corps qui te procure le plus de ...

... plaisir lorsqu’il y a de la douleur ?

Katia dans la nudité la plus totale, s’assoit sur la chaise, ouvre de grands yeux, rougit, hésite, et, au bout de quelques secondes, baisse timidement la tête et dit :

— Mon cul et mes tétons.

— Bien ! Comme tu peux le constater, le massage que nous t’avons fait a mis notre cher toubib dans une forme olympique. Tu vas t’arranger pour bien humecter son phallus et ensuite tu vas t’asseoir dessus. Quant à moi, je vais m’asseoir en face de toi tu vas me fixer dans les yeux, je vais m’occuper de tes tétons et en même temps, tu vas répondre à mes questions ; tu es d’accord ?

Katia se lève, jauge du regard la bite du toubib, détaille l’entrejambe de la psy et dit :

— D’accord, mais je préférerais être sur la table avec les trucs aux jambes comme pour accoucher. Mais avant, je voudrais te sucer la chatte. Allez ! Pose tes fesses sur le bord du bureau et écarte bien les jambes.

La psy enchantée par cette proposition s’exécute et Katia dirige sa langue vers la vulve magnifiquement offerte. Elle plonge sa tête entre les cuisses grandes ouvertes et lèche, suce et aspire avec force le jus de cet abricot dégoulinant de suc. Anne s’accroche au bureau et jouit, en étouffant au mieux ses cris et gémissements entre ses dents. Katia étire les lèvres de rêve de la psy entre pouces et index, lèche le liquide vaginal qui s’écoule doucement ; elle sent les soubresauts orgasmiques du vagin de la scientifique et s’en réjouit.

Puis elle se ...