1. 0205 Non, ce n’est pas un rêve.


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... coup… ».
    
    « Et toi, alors… ».
    
    Comme à chaque fois que Jérém vient de gicler en moi, je suis ivre de lui, et j’ai envie de flatter son ego de mâle.
    
    « T’es vraiment fait pour ça… ».
    
    « Je suis fait pour quoi ? » fait-il, en relevant sa tête et en plantant ses yeux dans les miens. Je lui fais un bisou, avant de lui répondre :
    
    « T’es un vrai mâle, t’es fait pour jouir et donner du plaisir avec ta queue… ».
    
    « T’as vu comment tu me chauffes ? ».
    
    « Et toi, donc ? T’es tellement bon au pieu... et tellement mec dans ta façon de prendre ton pied, de me toucher… putain, comment tu me fais vibrer… ».
    
    « Comment ça ? ».
    
    « Peut-être que tu ne t’en rends même pas compte, mais quand tu fais l’amour, t’as des gestes et des attitudes qui me rendent dingue… ton regard, tes mouvements, les positions de ton corps, ta respiration, ta transpiration, tout ce que tes muscles expriment, la façon dont tes mains me touchent, me guident, me parlent de tes envies… ta façon de foncer vers le plaisir… et aussi ta façon de me chauffer avec tes mots… j’adore quand t’es tellement excité que ton côté dominant ressort… je kiffe à mort… et j’aime jouir avec toi… ».
    
    « Moi aussi j’aime jouir avec toi… ».
    
    « Et en plus tu enchaînes, t’as toujours la trique… ».
    
    « Tu sais, il n’y a qu’avec toi… ».
    
    « De quoi ? » je fais, intrigué.
    
    « Il n’y a qu’avec toi que j’enchaîne quatre, cinq fois dans une nuit… ».
    
    « Avec personne d’autre ? ».
    
    « Non, personne, jamais… ».
    
    « C’est ...
    ... vraiment fou comment on se fait du bien… » je considère.
    
    « Oh, que oui… ».
    
    « J’aime jouir avec toi mais j’aime aussi être dans tes bras, après, comme maintenant… ».
    
    « Moi aussi… » il lâche, après un instant de silence, en me regardant droit dans les yeux.
    
    Dans sa voix, dans son regard, je le sens si heureux.
    
    Son sourire doux et adorable, c’est le sourire d’un petit gars que se laisse enfin aller, le sourire d’un mec qui a un besoin immense de recevoir et de donner de l’amour.
    
    « J’en ai faites des conneries, mais si j’ai fait une bonne chose, c’est de t’appeler… ».
    
    « Merci Maxime… » je rigole.
    
    « Je crois que je t’aurais appelé même si le frérot ne m’avait pas botté le cul… je ne pouvais pas partir à Paris de cette façon, après m’être comporté comme un salop… ».
    
    A cet instant précis, j’ai envie de le caresser, de le serrer contre moi, de lui faire mille câlins, mille bisous. J’ai envie de ne plus jamais partir de cette maison, de ce lit, de cette étreinte avec mon adorable Jérém.
    
    Sa chaînette effleure la peau entre mes pecs ; alors, je trouve marrant d’attraper quelques mailles pour l’attirer vers moi et lui faire un bisou.
    
    « Ça vient d’où cette chainette ? » j’ai envie de lui demander.
    
    « C’est un cadeau… ».
    
    « Un cadeau de qui ? ».
    
    « De ma mamie… elle me l’a offert à la rentrée de seconde… enfin, ma « première » seconde… j’y tiens beaucoup… ».
    
    Qu’est-ce qu’il me touche, mon bel étalon, lorsqu’il redevient poulain en parlant de ses ...
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