1. 0205 Non, ce n’est pas un rêve.


    Datte: 27/04/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Fab75du31, Source: Hds

    ... épaule.
    
    « Pour moi aussi c’est trop bon… ».
    
    Certes, le plaisir sexuel est à cet instant à son paroxysme ; mais ce qui est trop bon par-dessus tout c’est de me retrouver à la fois emboîté avec mon Jérém et dans les bras de ce nouveau Jérém ; d’être en train de mélanger mon plaisir avec ce Jérém qui a tout aussi bien envie de prendre son pied, de le prendre avec moi, de m’offrir du plaisir, me faire l’amour, de me baiser, et de m’offrir une immense tendresse.
    
    Soudainement, le bogoss arrête ses va-et-vient ; son corps est secoué par des frissons qui ressemblent presque à des spasmes, il halète bruyamment.
    
    « Ça va pas ? » je m’inquiète.
    
    « Si… si… ».
    
    « Tu respires très fort… ».
    
    « Je ne vais pas tarder à venir… ».
    
    « Vas-y, mon amour… ».
    
    Un instant plus tard, Jérém se dresse devant moi, le torse bien en arrière, les pecs bien bombés ; il attrape mes chevilles, il les pose sur ses épaules ; et il recommence à me pilonner : vraiment, c’est beau un mâle qui s’envole vers son plaisir ultime.
    
    Mais le mâle ne pense pas qu’à son propre plaisir : et alors que ses va-et-vient l’approchent à grands pas de l’orgasme, sa main me branle de plus en plus vite. C’est tellement bon que je ne tarde pas à me sentir perdre pied.
    
    « Je viens… » je lui lance alors que j’ai déjà perdu le contrôle de mon corps.
    
    « Moi aussi… » je l’entends siffler, le souffle coupé par l’orgasme.
    
    Oui, quand l’amour est là, la jouissance de l’un entraîne souvent celle de l’autre.
    
    Mes ...
    ... giclées s’enchaînent, décorant mon torse de longues traînées brillantes.
    
    « Oh, Nico… » je l’entends soupirer, alors que ses coups de reins s’espacent ; son torse part encore un peu plus en arrière, ses pecs deviennent encore plus saillants, son visage se lève vers le ciel, sa bouche s’ouvre à la recherche d’air, sa pomme d’Adam s’agite nerveusement dans son cou faisant vibrer son grain de beauté et sa chainette sexy. Et alors que l’onde de choc de l’orgasme fait vibrer tout son être masculin, mon bel étalon brame son orgasme comme jamais je ne l’ai entendu faire auparavant.
    
    Jérém vient de jouir en moi, il respire très fort, il est en nage ; il dégage lentement mes mollets de ses épaules, il a l’air vraiment épuisé. Pourtant, il me balance un sourire, un sourire de malade, de malade ! Qu’est-ce qu’il est beau et touchant ce sourire, juste après l’orgasme !
    
    Puis, il amorce le mouvement pour s’allonger sur moi.
    
    « Fais gaffe, j’en ai partout… » je tente de le prévenir.
    
    « Je m’en fous… » fait-il, tout en collant son torse contre le mien, en enfonçant son visage dans le creux de mon épaule et en posant quelques bisous légers sur ma peau. J’adore, après l’amour, le voir assommé par l’orgasme ; j’adore me blottir entre les pattes chaudes, sentir le contact avec la toison douillette de mon mâle.
    
    « C’est tellement bon avec toi… » je l’entends lâcher, alors que son souffle chaud caresse mon cou.
    
    « Je suis un bon coup, hein ? » je le cherche.
    
    « Grave… un super bon ...
«12...171819...22»