1. Une histoire d'étudiantes prostituées


    Datte: 22/04/2019, Catégories: Partouze / Groupe Première fois Hardcore, Auteur: pageblanche, Source: xHamster

    ... où je repartais de chez Lucie, qui disait :
    
    « Finalement je passe la nuit. Je t’invite au resto demain soir. Tout se passe très bien. Bisous mon amour. »
    
    Alors j’ai rallumé l’ordinateur et me suis connecté au site d’étudiantes qui se prostituaient. J’étais vidé, mais je me suis rapidement remis à bander. J’avais cent euros en espèces dans ma poche.
    
    J’ai pris mon temps.
    
    J’ai hésité entre trois filles, mais la première à qui j’ai envoyé un SMS ne m’a pas répondu. Il était minuit passé.
    
    La deuxième m’a écrit qu’il était trop tard.
    
    La troisième était disponible. C’était une petite blonde à cheveux longs qui mesurait 1m54 et qui avait une magnifique paire de nichons, lourds et fermes. Elle portait plusieurs tatouages et acceptait de faire quelques trucs tordus, selon le feeling. Je l’ai invitée à venir chez moi et elle s’est pointée moins de vingt minutes plus tard.
    
    Le lendemain, Anaïs m’a raconté sa nuit.
    
    Puis je lui ai raconté la mienne.
    
    Nous avons beaucoup ri et, le jour-même, c’était un dimanche, elle s’est absentée deux fois pendant une heure pour aller baiser avec des inconnus. Et elle m’invita au resto, comme convenu.
    
    Le lundi soir, elle passa deux heures avec un mec de passage dans la région, dans un hôtel. Vers minuit, elle s’absenta pour aller faire l’amour avec un insomniaque qui habitait à deux minutes à pieds de chez nous.
    
    Le mardi, elle sécha les cours. Elle s’envoya en l’air avec trois hommes successifs et on revint au restaurant.
    
    Le mercredi soir, elle se gouina avec une étudiante japonaise de 18 ans sous le regard d’un vieux bonhomme qui se contenta de les mater en se branlant, puis d’éjaculer sur leurs langues mêlées.
    
    Le jeudi soir, nous fîmes l’amour à trois avec Lucie, à poil, chez elle.
    
    Le souvenir de Lucie et d’Anaïs, à la fin, qui se tournent vers moi et qui me disent synchro :
    
    « Ça fait six cents euros, monsieur. »
    
    Et nos éclats de rire ensuite.
    
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