Une histoire d'étudiantes prostituées
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... promo. Son visage était flouté, mais il n’y avait pas le moindre doute, tout simplement parce qu’elle portait un tatouage de papillon à l’épaule gauche. Je l’avais bien en mémoire.
C’était Julie et elle avait posté trois photos pour illustrer sa fiche.
Une où elle était en sous-vêtements.
Une autre où elle baissait suffisamment sa culotte pour révéler ses lèvres saillantes et lisses.
La dernière où elle tournait le dos pour montrer son cul.
Je n’ai pas pu me retenir de me branler.
Je rêvais de voir le cul de Julie.
Anaïs était partie depuis quinze minutes, et il était probable qu’elle soit arrivée chez son client à ce moment-là. Peut-être même qu’elle était déjà en train de se faire tripoter les seins.
Et moi je me branlais en matant le cul de Julie.
Julie qui spécifiait sur sa fiche qu’elle acceptait les pénétrations non protégées, qu’elle avalait et n’avait pas de limites d’âges. Elle prenait cent euros de l’heure et mille pour une nuit complète. Mille cinq cents pour deux hommes en même temps. Elle acceptait également de se gouiner en présence d’un homme, avec fille ou femme d’âge indifférent. Tarif à discuter.
Je suis revenu à la photo où on voyait son cul, puis à celle où les lèvres de sa chatte apparaissaient.
Je n’arrêtais pas de bander et de me branler.
Puis j’ai craqué.
Je me suis inscrit sur le site, en tant que client. J’ai fourni toutes les informations demandées, puis j’ai validé. L’opération exigea quinze minutes, et je ...
... supposai qu’à l’heure qu’il était, Anaïs était en train de se faire bourrer la chatte par un mec de cinquante-trois ans, sans capote, à quelques pâtés de maisons d’ici.
Je n’ai pas eu de scrupules, ni de regrets.
Mon inscription validée, j’ai envoyé un message au numéro qui figurait sur la fiche de Lucie, pour lui demander si elle était disponible dans la demi-heure qui suivait. Le temps de me doucher, de m’habiller et de me rendre chez elle. Je savais où elle habitait. On avait fait plusieurs soirées dans son super appartement de bourgeoise. Je comprenais mieux comment elle parvenait à se payer un loyer pareil. Avec ces nichons et ce cul, bon sang…
Avec cette chatte…
Il y a des souvenirs qui restent, comme ça. Des souvenirs persévérants, indélébiles. Celui du moment où Lucie a ouvert la porte de son appartement ce soir-là, en ouvrant grand les yeux et en disant :
« Non, c’est toi ? »
Le souvenir de Lucie qui se fout à poil en me tournant le dos, dans sa chambre. Son cul en vrai et le goût de son anus. Le souvenir de ma queue non protégée qui s’enfonce dans sa chatte trempée. Ses nichons qui se mettent à vibrer et sa langue qui tourne dans ma bouche. Le souvenir des giclées de sperme que j’ai expédiées sur sa chatte lisse, un peu plus tard. Les cinq billets de vingt euros que j’avais retirés en allant chez elle, et qu’elle repoussa vers moi en disant :
« Laisse tomber. C’était cool de baiser avec toi. »
Puis le souvenir du SMS qu’Anaïs m’envoya au moment ...