Une histoire d'étudiantes prostituées
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
Le soir où Arte diffusa ce documentaire sur la prostitution étudiante, j’étais assis à côté d’Anaïs, dans le minuscule studio qu’on occupait depuis plusieurs mois. Nous étions dans la même école d’art, en première année, et, pour financer nos études et remplir notre frigo, on était obligés de faire des petits boulots minables, payés une misère. C’était la galère et nous avions peu de temps pour nous. On était en permanence fatigués et démoralisés.
Mais il y a eu ce documentaire sur Arte…
Au cours des vingt premières minutes, Anaïs et moi on n’a pas prononcé une parole. On a gardé les yeux fixés à l’écran, tout en buvant des bières bas-de-gamme qui avaient goût de limonade amère. Différents témoignages se succédaient, et il y eut cette fille, dont le visage était flou à l’écran, qui a dit à un moment donné :
« Je gagne plus ou moins trois mille euros par mois. Ça me suffit, mais je pourrais me faire encore plus si je le voulais. Et puis ce n’est pas comme si je faisais le trottoir. Les sites internet assurent l’anonymat et les clients sont tous discrets. »
C’est à ce moment-là qu’Anaïs a dit :
« Trois mille euros ? Ah ouais, quand même… »
Je me suis tourné vers elle, mais elle regardait l’écran. Elle avait relié ses cheveux châtain clair en palmier ce soir-là. J’adorais son visage. Son corps aussi. Elle était assez grande et mince. La peau dorée et de longues jambes. Malgré nos emplois du temps très chargés, nous trouvions le temps de nous envoyer en l’air ...
... au moins trois fois par semaine. Et ce soir-là, même s’il n’y avait pas eu ce documentaire, nous l’aurions fait.
Je lui ai dit :
« Ben la voilà, la solution. »
Elle s’est tournée vers moi cette fois-ci, en disant :
« Ouais, c’est ça, je vais me prostituer… J’aimerais bien voir la tête que tu ferais si je t’annonçais ça : chéri, j’ai trouvé un nouveau boulot, je vais faire la pute et on n’aura plus aucun problème de fric. »
J’ai souri, sans répondre.
Anaïs a pris une gorgée de bière et elle est revenue à l’écran. Moi aussi.
C’était le tour d’une autre fille de témoigner de son expérience.
Elle disait :
« Mon mec n’est pas au courant. Je fais ça discrètement. Je lui dis que je passe voir une copine et que je reviens. Selon ce que veut le client, ça peut prendre une heure ou deux, mais il arrive que je passe une soirée entière avec un homme. Il arrive aussi que je fasse la nuit complète. »
Et lorsque le journaliste demanda à la fille combien une nuit complète lui rapportait, elle répondit :
« Je prends mille euros. »
Anaïs soupira à mes côtés.
Je lui dis alors :
« Tu crois que des filles de l’école d’art le font ? »
« J’étais en train de me le demander. »
« Tu pensais à des filles en particulier ? »
Elle a souri et dit :
« Je pensais à Lucie. Ce serait bien son genre. »
Lucie était une assez belle nana de notre promo. Elle avait quelque-chose de vulgaire dans son attitude et un chouette physique. Ce n’était pas du tout mon ...