Une histoire d'étudiantes prostituées
Datte: 22/04/2019,
Catégories:
Partouze / Groupe
Première fois
Hardcore,
Auteur: pageblanche, Source: xHamster
... des étudiantes qui se prostituaient dans notre ville et on se remit à baiser.
Âgées de dix-huit à vingt-sept ans, certaines se contentaient de sucer et d’avaler, tandis que d’autres, les plus nombreuses, faisaient l’amour toute nues pour cent ou cent cinquante euros de l’heure.
Mais d’autres options apparaissaient sur certaines fiches, telles que :
Sodomie, pénétration non protégée, fist-fucking, plan à trois ou +, uro, SM, gang-bang sans limite d’âges…
Les photos défilaient et je n’en finissais pas de bander.
Anaïs se branlait et jouissait fréquemment.
Jusqu’à ce qu’une icône s’affiche à l’écran pour nous informer que la fiche était validée. Là, on s’est arrêtés de baiser. On s’est posés devant l’écran et on a attendu. La fiche d’Anaïs venait d’apparaître en tête des dernières filles inscrites. Et le seul fait de la voir à poil en photo sur l’écran me poussa à me masturber à ses côtés.
La première demande lui parvint moins d’un quart d’heure plus tard, par SMS. Un homme de cinquante-trois ans souhaitait passer cette fin de soirée avec ma nana. Ils échangèrent quelques messages, afin de s’assurer des exigences de chacun et des conditions, puis Anaïs alla prendre une douche.
Je ne devais surtout pas éjaculer, sinon je risquais de me faire un mauvais trip une fois qu’elle serait partie. Je ne cessais pas de bander, mais je ne me branlais plus. En attendant qu’elle sorte de la douche, j’ai ouvert une autre bière en fixant du regard la dernière photo que ...
... nous avions agrandie à l’écran. Une petite black en sous-vêtements rouges. Sa fiche disait qu’elle acceptait les pénétrations non protégées. En revanche, elle n’avalait pas.
A sa sortie de la douche, Anaïs portait une petite robe noire que j’aimais beaucoup : assez souple et courte, à très fines bretelles. Elle avait mis une culotte taille basse, blanche, mais pas de soutif. Et des nu-pieds à petits talons qu’elle avait dû payer trois euros dans une friperie.
« Comment tu me trouves ? dit-elle. »
« Tu es bandante. »
« Tu as toujours envie ? »
« Oui, mais dépêche-toi d’y aller avant que je change d’avis. »
Elle souriait, à la fois en constatant que je bandais toujours, à la fois à l’idée de faire la pute dans les minutes qui allaient suivre.
Elle s’est approchée pour m’embrasser, puis m’a dit :
« Si jamais ça se prolongeait, je t’enverrais un SMS. »
Je lui ai répondu :
« Salope. »
Elle a souri, puis elle a quitté le studio.
J’ai suivi le bruit de ses talons dans les escaliers en bois, puis j’ai attendu d’entendre la porte d’en bas se refermer. Là, je suis revenu devant l’écran et j’ai continué à faire défiler les fiches. Nous en avions examiné à peine un quart. Je ne me branlais pas vraiment. Je me touchais les couilles et je bavais de temps en temps sur le bout de mon gland, pour étaler la salive dessus, ce qui faisait l’effet d’une langue.
Jusqu’à la fiche numéro 112.
Je n’en suis pas revenu.
C’était Julie, la fille canon de notre ...