1. Les voyages forment la jeunesse


    Datte: 21/04/2019, Catégories: f, fh, fhhh, fplusag, jeunes, religion, plage, voyage, bateau, hsoumis, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral pénétratio, zoo, attache, Humour historiqu, inithf, Auteur: OlivierK, Source: Revebebe

    ... taquinez-le du bout de la langue… Prenez-le entre vos lèvres, mais doucement, ne le maltraitez pas… Aspirez quelque peu, maintenant. Voilà, vous y êtes…Je fis mon possible. Cela lui plut, sans doute, car elle m’intima l’ordre de venir en elle et de ramoner de bon cœur ! Mais cette fois encore, hélas, en dépit des consignes qu’elle jugea bon de réitérer, je me répandis trop hâtivement en elle, et la dame en fut fort affligée. Elle me traita de butor. Je lui promis de reprendre des forces très vite mais, alors que j’aurais tout donné pour passer la nuit avec elle, elle m’ordonna de me rhabiller et me chassa.Quelques matelots me semblèrent goguenards en me voyant quitter la cabine de la dame. N’allaient-ils pas m’y remplacer ? N’allait-elle pas leur ouvrir sa porte, sa porte et le reste, puisque je n’avais pas su pleinement la satisfaire ? La jalousie me tarauda, et je ne pus fermer l’œil de la nuit. Par ailleurs, une crainte m’obsédait : qu’allaient dire le comte et la comtesse mes parents, quand je leur présenterais cette femme que j’avais décidé d’épouser devant Dieu et devant les hommes ? Eux qui m’avaient déjà choisi une fiancée, fille d’un vicomte de leurs amis, que je devais précisément rencontrer à Philadelphie !Contrairement à la prescription de celle dont je croyais être devenu éperdument amoureux, je n’avais pas jeté le livre et j’en repris la lecture. D’abord indigné par les libertés que Daniel avait prises avec la vérité, j’en vins enfin à comprendre que la dame ...
    ... se moquait de moi. J’étais jeune et naïf, ignorant encore la monstrueuse duplicité que peut réserver l’âme féminine.Le lendemain après-midi, après m’être juré de me montrer d’une froideur extrême et de rester imperméable à toute tentative destinée à me jeter dans les abîmes de la concupiscence, je la priai de poursuivre son récit, que je baptisai fable en moi-même.
    
    Mon bon Vendredi était un partenaire agréable mais trop souvent fatigué à mon gré. Aussi le faisais-je parfois s’allonger sur la plage et m’amusais-je à poser sur son bas-ventre deux ou trois crabes, ce qui ne manquait jamais de donner à son outil une dimension… colossale, pour mon plus grand bonheur. Un jour que je sommeillais sur le sable, il lui prit fantaisie de poser sur chacun de mes seins un des crabes qu’il venait de pêcher. Être pincée et chatouillée en même temps apporte un plaisir peu commun, je vous l’assure. Voyant que je ne le blâmais pas de son initiative, bien au contraire, il en posa un aussi sur mon pubis ! Il nous arriva souvent par la suite de jouer avec les animaux que nous prodiguait la nature. J’adorais les caresses des escargots, le cheminement des hannetons, le frétillement des crevettes, et même les oursins roulant de mes tétons jusqu’à la source de mes délices… Je ne me lassais pas, non plus, des baisers que dispensaient à mes seins les multiples ventouses des poulpes que Vendredi trouvait dans le creux des rochers. Une fois venu le temps de ma première récolte, nous nous amusâmes ...
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