Les voyages forment la jeunesse
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
f,
fh,
fhhh,
fplusag,
jeunes,
religion,
plage,
voyage,
bateau,
hsoumis,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
zoo,
attache,
Humour
historiqu,
inithf,
Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... et sa dimension me sembla démesurée. Je m’en servis pour caresser ses seins, son ventre, ses joues, ses lèvres, ses cheveux si soyeux…Elle me commanda soudain de venir en elle. Je m’efforçai de faire mieux que la première fois, retardant tant que je le pouvais le moment de me répandre. Mais pas suffisamment encore, hélas ! Elle soupira, me commanda de rester nu et poursuivit :
Satisfaite infiniment – ce jour-là ! – je crus devoir l’abandonner sur la plage, souffrant probablement de la faim et de la soif. Ainsi, pensais-je, il ne m’en sera que plus reconnaissant quand je daignerai m’occuper de lui. Dissimulée derrière des buissons, je l’observai à l’aide ma lunette et il me fut agréable de constater qu’il se remit à bander très vite. Regardant avec plus d’attention, je vis que quelques crabes avaient escaladé son corps et chatouillaient ses parties intimes. Cela me fit d’abord rire, puis ne laissa pas de m’inquiéter : n’allaient-ils pas les rendre inopérantes ? Je me précipitai pour chasser ces crustacés. Mon sauvage n’avait été qu’un petit peu pincé, et le volume de son membre s’en trouvait magnifié. Je m’empalai donc une nouvelle fois, et fus une nouvelle fois comblée.
Il paraissait docile et respectueux. Aussi lui déliai-je les pieds. Il me suivit dans ma hutte. Sa démarche était gracieuse, il me plaisait infiniment. Je consentis alors de lui donner à boire. Il m’en sut un gré infini.
— Tu ne boiras désormais qu’après avoir goûté à mon suc, lui dis-je.
Il ne ...
... me comprit pas, naturellement. J’appuyai sur ses épaules pour le mettre à genoux et approchai de sa bouche mon blond pubis. Il darda sa langue, lécha, suça… Elle était autrement plus douce que celle de mes chèvres, sa langue ! Le soir venu, je préparai un repas pour deux et pris le risque de lui délier les mains. Il dévora, s’allongea à même le sol et s’endormit. Je fis de même, sur ma couche de peaux de biques. Au petit jour du lendemain, il avait disparu. Je crus avoir rêvé, et la déception mouilla mes yeux de larmes. Mais il revint, les bras chargés de fleurs. Il me tendit le bouquet, que je voulus bien accepter. Il se prosterna et bredouilla quelques mots que je ne compris pas. Une imploration, sans doute. Que voulait-il obtenir ? Je lui serais bienveillante tant qu’il serait en mesure de me satisfaire sans toutefois se rendre importun. Retenez bien ceci, jeune homme, car c’est ainsi qu’il faut toujours se comporter envers les femmes. J’offris mon corps à son adoration, il me caressa longuement… Caressez-moi !
Je commençai par les pieds. Mais elle me dit de cesser de la chatouiller, et d’aller plus haut. Plus haut étaient les genoux…— Plus haut, vous dis-je, gronda-t-elle.Alors les cuisses, si douces à l’intérieur… Et la sublime porte ? Ses lèvres roses, finement ourlées, luisantes, attirèrent ma bouche. La dame estima que je m’y prenais mal.— Léchez, me prescrivit-elle, puis introduisez votre langue. Plus haut se trouve un bourgeon, comme une framboise. Découvrez-le, ...