Les voyages forment la jeunesse
Datte: 21/04/2019,
Catégories:
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Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
pénétratio,
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Humour
historiqu,
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Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
— Jetez cet ouvrage par-dessus bord, jeune homme ! Daniel est un farceur.
— Pardon, madame, à qui ai-je l’honneur ?
— Vous le saurez plus tard mais croyez-moi, cessez de lire ce ramassis de mensonges ! Toute sa vie, Daniel a eu besoin d’argent, parce qu’il comptait sur sa plume pour vivre, le pauvre homme ! Mais son éducation puritaine l’empêchait de dire la vérité. Alors il a fait de moi un homme, et vertueux qui plus est ! Notre traversée sera encore longue. C’est la première fois que vous allez vers les Amériques, je suppose, vous êtes si jeune ! Voulez-vous la connaître, la vérité ?
Je me pendis un triste jour… au cou d’un palefrenier. Je n’eus aucun plaisir quand il abolit mon pucelage, en hennissant comme un cheval. Puis j’eus un gros chagrin d’amour, dont je ne dirai mot. Daniel, à qui je voulus bien raconter mon aventure un soir de nostalgie, me harcela pour en savoir plus, je lui fis croire que nous avions été capturés par les Barbaresques, mon amant et moi. Billevesées !
En réalité, brisée par l’amertume et vêtue en garçon, je m’embarquai comme mousse sur un bâtiment qui faisait voile vers les Amériques. Nul ne s’aperçut de la supercherie, un bandage aplatissant mes seins. Mais j’étais trop joli garçon, on me le fit vite comprendre. Je feignis alors un attachement profond pour l’aumônier du bord, qui voulut bien se contenter des quelques caresses manuelles que je lui prodiguais et qui le jetaient, une fois satisfait à bon compte pour moi, dans d’ostensibles ...
... repentirs. Il me demandait alors de le fouetter vigoureusement, ce qui ne manquait pas de le remettre en forme. C’était à n’en plus finir. Les vieillards ont parfois de surprenantes résurgences. Mais il était jaloux et protégea ma vertu, car je partageais sa modeste cabine. Quand il dormait, couchée dans mon hamac, j’utilisais le manche de sa discipline pour me donner un semblant de plaisir, en pleurant mon amour perdu à tout jamais.
Cet aumônier avait coutume de se stimuler en lisant quelques passages d’une des bibles qu’il comptait distribuer à des sauvages qui ne savaient pas lire. Adam et Ève sans vêtements, les filles de Loth, Booz endormi et Ruth au sein nu, quelques vierges violées par des soudards, voilà qui le mettait en forme. Il en allait de même de la nudité érigée de Noé devant ses fils. Mais vous imitez Noé, si je ne m’abuse !
C’était vrai. Mes culottes ajustées – je portais à gauche, comme le voulait la mode en ce temps-là – ne dissimulaient point que mon membre s’y trouvait fort à l’étroit. La dame était légèrement vêtue ; ses chevilles fines dépassaient de sa jupe de batiste. Elle avait délacé son corsage, prétendant qu’elle avait trop chaud, ce qui me permettait de voir la naissance de ses seins que je trouvais fort beaux pour une personne de cet âge. Il est vrai que je n’avais jamais encore eu l’occasion d’en contempler d’autres.Après avoir déploré de n’avoir point à sa disposition la discipline de l’aumônier, car elle m’aurait bien fouetté le cul nu, ...