1. Mardi 25 février 2048


    Datte: 16/04/2019, Catégories: fh, ff, ffh, hplusag, fépilée, amour, Auteur: Nooz, Source: Revebebe

    ... la puce biométrique. La douche résonne dans la chambre ; je me déshabille et rejoins Selma. Je me place dans son dos et commence à lui masser les épaules. Peu à peu, son corps se dénoue. J’enduis de mousse ses seins, ses hanches ; je frotte légèrement son pubis. Elle recule ses fesses et prend conscience de mon état. Elle se cambre, saisit mon sexe et s’empale dans un long soupir. L’afflux d’adrénaline de la journée et la proximité de la mort ont exacerbé nos sens ; notre coït est court et violent, couvert de nos ahanements et terminé par une explosion de jouissance conjuguée.
    
    Calmés, recouverts d’un seul drap, nous nous laissons bercer par le doux chuchotement de la climatisation ; mon oreille est posée sur la poitrine de Selma. Elle me caresse les cheveux nonchalamment. Je suis bien, et je plonge dans une demi-léthargie. Je passe la main sur son ventre et j’effleure son nombril. Elle sursaute, et son cœur bas plus fort. Je repense à la façon dont elle a éliminé son assaillant tout à l’heure et je tremble légèrement. Elle s’en rend compte.
    
    — Qu’as-tu ?
    — J’ai eu peur pour toi tout à l’heure.
    — Je n’avais pas le choix : je t’avais donné mon arme… Et puis il n’était pas bien dangereux.
    
    Une plainte, au début imperceptible, puis prenant de l’ampleur traverse la cloison.
    
    — Tiens, le docteur Dimitri s’occupe de sa patiente ! Et apparemment, elle aime le traitement.
    
    La main de Selma se crispe sur ma chevelure. Cela n’a pas l’air d’être à son goût. Les plaintes se ...
    ... transforment en gémissements, puis rapidement en cris. Je déplace ma main entre ses jambes, et ce que je pensais être une récrimination envers Dimitri est bien autre. Mon doigt pénètre sans difficulté dans son intimité ; elle exhale bruyamment. Je remonte sur le clitoris, tourne autour du capuchon et replonge au plus profond de son ventre. Elle est secouée par un violent orgasme.
    
    Il est temps pour moi de relever la garde ; elle ne peut qu’admirer l’état dans lequel notre badinage m’a laissé.
    
    Dans le PC, Agnete, assise en tailleur, regarde nonchalamment les écrans qui se déclenchent en fonction du passage des clients devant les cellules. Avec son short échancré et son débardeur à même la peau, elle pourrait ressembler à une étudiante s’il n’y avait un automatique, chargeur engagé, posé à côté d’elle. Elle se rend immédiatement compte de la bosse qui déforme mon pantalon ; elle rit.
    
    — Je pouvais patienter quelques minutes… Selma t’a laissé dans un drôle d’état !
    
    Elle se lève, et son sein droit, mu par une folle envie d’émancipation, s’échappe du débardeur. Une belle pointe rose darde gaillardement dans ma direction. Ce n’est pas ça qui va me calmer. Un désir fou d’englober son téton me traverse l’esprit. Elle s’en rend compte.
    
    — Si tu n’étais pas avec Selma, je te sucerais, là, tout de suite. Mais si elle le découvrait, elle me tuerait, dans le sens littéral du terme… Bon, je vais rejoindre Dimitri : il n’y a pas de raison que je sois la seule qui n’ait pas de ...
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