La naufragée - 2
Datte: 15/04/2019,
Catégories:
ffh,
fépilée,
vacances,
Voyeur / Exhib / Nudisme
pénétratio,
fsodo,
Auteur: Gaspard, Source: Revebebe
... lendemain matin, l’atmosphère est un peu électrique ; les deux amies, pour une fois habillées, me servent le petit déjeuner et m’abandonnent avec un prometteur « Repose-toi, mon chéri. », murmuré dans l’oreille par Marie.
Je les vois, main dans la main, se diriger vers la Twingo et prendre la direction de Barjac. Pour moi, ce sera balade et piscine, au bord de laquelle je m’autorise un petit sommeil. Le vibreur de mon portable me rappelle à la réalité, m’arrachant à un rêve un rien érotique ; c’est Marie qui me dit tendrement :
— Nous sommes là, mon chéri.
Effectivement, elles sont là, somptueuses ; l’institut de beauté les a gommées, épilées, coiffées, maquillées et le résultat m’intimide presque. J’ai devant moi deux top models, prêts à tout pour mon plaisir : l’attitude de Marie ne laisse aucun doute, elle entend bien participer activement à la fête.
Et quelle fête ! Comme deux louves qui se dirigent vers leur proie, elles s’approchent, provocantes, mais déjà offertes, et leurs caresses portent vite leur résultat, me voilà au garde à vous. Marie allonge Dorothée sur le lit, lui écarte tendrement les jambes et me guide vers elle. Les préliminaires ayant duré toute la semaine, je la pénètre immédiatement, et nos deux bassins ondulent en phase. Sans un ...
... gémissement malgré sa virginité, elle m’a pris en elle et s’offre sans retenue, tandis que Marie agace ses seins, l’embrasse, m’embrasse, ce qui amène notre victime à un orgasme phénoménal avant même que je n’éjacule.
Et c’est là que le ciel me tombe sur la tête, car Marie me prend par les hanches, me retire du corps de son amie et caressant mon érection me dit :
— Attends Gaspard, il y a un autre pucelage à déflorer. Tu vas posséder aujourd’hui ce dont tu rêves depuis si longtemps…
Puis elle se place en levrette tandis que Dorothée lui lubrifie l’anus, y enfonçant tout doucement son index. Elle m’offre ce qu’elle m’avait toujours refusé : m’enfoncer entre ses deux jolis globes. Guidée par la main de Dorothée, ma verge s’approche, se glisse presque sans effort, pénètre Marie au plus profond, déclenchant un raz de marée que je n’aurais jamais soupçonné : offerte, ouverte, elle entame un lent va-et-vient et à l’instant même où je vais exploser, c’est un feulement presque animal qui sort de sa gorge. Jamais dans tous nos ébats nous n’avions connu une telle intensité.
Epuisé, je m’affale sur le dos entre mes deux tendres bourreaux, et il me revient à l’esprit une chanson de Georges Brassens :
"Parlez moi de la pluie et non point du beau temps… Vivent les orages cévenols !"