1. La naufragée - 2


    Datte: 15/04/2019, Catégories: ffh, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, Auteur: Gaspard, Source: Revebebe

    ... Dorothée au marché de Barjac. Au passage, nous laissons la Twingo au garage pour vérifier qu’elle n’a pas trop souffert de l’inondation. En saison cette petite ville est très animée, et on trouve un peu de tout au marché, avec bien sûr ces innombrables étals de vêtements stéréotypés fabriqués en Chine ; aucun problème pour rhabiller notre naufragée, tout lui va.
    
    Mais, véritable aubaine pour mes passagères, un camelot vient de s’installer qui solde de la lingerie de grandes marques. Je suis d’ordinaire patient, mais je comprends vite que cela va durer un bon moment, j’entreprends donc de reprendre quelques forces à la terrasse voisine. Un pastis très allongé d’eau et quelques olives, un journal, je ne vois pas le temps passer, mais c’est quand même trois quarts d’heure plus tard qu’elles me rejoignent, les bras chargés de paquets. Marie qui connaît mon goût pour les jolies parures féminines m’assure :
    
    — Mon chéri, tu vas te régaler.
    
    Un coup de fil au garage nous apprend que la boue a légèrement grippé les étriers de freins avant et qu’il faut absolument les démonter pour les nettoyer. Nous sommes samedi, et avec les congés, cela ne sera prêt que mercredi matin. Dorothée semble tout à coup contrariée et se renfrogne un peu :
    
    — Que vais-je faire d’ici-là ?
    — Pourquoi, tu dois reprendre le travail ?
    — Oh non, j’ai encore une semaine de congés, ce n’est pas le problème, mais je ne veux pas vous envahir, et rester ici toute seule dans une chambre d’hôtel ne me tente ...
    ... guère.
    — Ecoute, Dorothée, soyons simples : tu as vu que le bungalow était suffisamment vaste pour vivre à trois sans se gêner, accepte donc notre hospitalité, si bien sûr le naturisme ne te gène pas.
    — Ah non, ça ne me gène plus du tout, même si j’étais surprise au début, mais vous le pratiquez de façon si naturelle et si épanouissante que ça donne même envie.
    — Alors, c’est tout simple tu n’as qu’à rester. Je vais simplement informer la direction par courtoisie.
    — Vous êtes trop gentils, je ne saurai jamais assez vous remercier.
    
    Le sourire de Dorothée revenu, nous reprenons la route de la Sablière. J’abandonne mes vêtements pour aller piquer une tête dans la piscine, laissant la gent féminine au bungalow.
    
    À mon retour j’ai la surprise de voir la table dressée, avec une bouteille de champagne au frais dans un seau, puis je vois sortir mes deux phénomènes qui se mettent en scène comme pour un défilé de Victoria Secrets. Tout y passe : guêpière, redresse-seins, bas en voile et porte-jarretelles, un régal ! Une coupe de Mumm à la main, je suis le plus heureux des hommes, même si la carte de crédit a dû en prendre un coup.
    
    J’apprécie particulièrement Marie dans une nuisette de voile, qui ne voile rien du tout mais qui souligne ses formes et ses tétons dressés ; elle est magnifique et vient s’asseoir sur mes genoux pendant que Dorothée nous fait son numéro avec un top de soie gris souris et des bas du même ton, fesses à l’air. Elle s’approche et vient quémander une ...