1. La naufragée - 2


    Datte: 15/04/2019, Catégories: ffh, fépilée, vacances, Voyeur / Exhib / Nudisme pénétratio, fsodo, Auteur: Gaspard, Source: Revebebe

    ... n’a pas sa place dans l’endroit où nous nous trouvons et qui prend un malin plaisir à m’offrir cette petite exhibition. Les yeux pétillants de malice, et faussement ingénue, elle me demande, arrivée en haut, si le paysage m’a plu ; la situation redevient piquante.
    
    Marie enfin réveillée, il est temps de s’organiser pour aller chercher la voiture. Après une fouille en règle des valises de ma compagne qui, paradoxalement, emmène une garde robe complète dans les centres naturistes, Dorothée enfile un string diaphane, un top ultra moulant et un pantacourt beige ; elle est ravissante.
    
    Marie quant à elle enfile à même la peau un fourreau de lycra blanc qui ne laisse rien ignorer de sa silhouette. À la réception, Dany, la directrice du centre accepte de nous prêter son vieux pick-up. En route pour l’expédition sauvetage voiture !
    
    Installées sur le siège passager, les deux coquines en profitent, se serrant l’une contre l’autre un peu plus qu’il ne serait nécessaire. Et quand j’aborde le chemin caillouteux, c’est un régal de voir leurs poitrines sans entraves tressauter au rythme des ornières. Arrivés en bas, nous retrouvons la voiture, apparemment intacte, mais embourbée jusqu’au milieu des roues.
    
    Laissant mes deux élégantes dans le pick-up, j’arrive facilement à démarrer la Twingo, mais impossible de l’extraire de sa gangue de boue : c’est évident, il faut la tracter. Et j’ai besoin d’aide. Mes deux mécanos ne sont pas vraiment en tenue pour se frotter à la boue, mais ...
    ... elles comprennent bien vite la situation : pour ne pas abîmer leurs vêtements, la seule solution c’est de les enlever, ce qu’elles font en pouffant de rire.
    
    Je frappe un câble sur l’avant de la Twingo, et j’arrive à la décoller avec le treuil du 4x4. Je m’installe alors au volant et invite Marie et Dorothée à la pousser pour m’aider à retrouver le terrain ferme. J’espère que nous sommes seuls car la situation pourrait bien créer une émeute : deux très jolies femmes, entièrement nues, poussant une voiture en riant à gorge déployée ; c’est plutôt mignon, à vrai dire, mais nous aurions peut-être un peu de mal à expliquer la situation à un éventuel promeneur.
    
    Puis ce qui devait arriver arrive : les roues avant de la petite Renault se mettent à patiner et projettent une généreuse giclée de boue sur mes deux aides, que je retrouve maculées des pieds à la tête. Le spectacle vaut le détour, croyez-moi ! Heureusement la Cèze est toute proche, ses eaux sont redevenues limpides et il fait plus de trente degrés : à la toilette !
    
    Par bonheur Marie avait prévu d’emmener des draps de bain. Jamais je n’aurais osé, encore hier, imaginer une telle scène : dans l’eau jusqu’à mi-cuisse, deux naïades se frottent, se caressent, se lavent l’une l’autre avec tendresse et des audaces qui ne sont pas motivées par le seul désir de propreté. J’ai devant les yeux une toile de Fragonard.
    
    Il faut pourtant se décider à rentrer si nous voulons avoir une chance d’acheter quelques vêtements pour ...
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