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L'étudiante sodomisée. (1)
Datte: 10/04/2019, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... rapidement et je sentis la lourde et chaude averse tomber sur mes seins. Ce fut bref mais ce geyser blanc s’élevant dans les airs pour retomber lourdement me captiva. La puissance du tri diminua rapidement et les dernières giclées sortirent sans puissance en recouvrant le gland et la main droite qui allait et venait. Quand tout fut fini, il s’abattit à côté de moi et soufflant comme un bœuf. Je revins vers lui. Sa verge était dure encore et j’en suçai d’abord l’extrémité pour goûter ce fameux liquide qui me tentait fort et qui sentait fort. La semence expulsée dans les premiers jets se détachait de mes seins et tombait sur son pubis pendant cette fellation. Du premier contact, j’aimais ça. Je sus que je deviendrai une grande bouffeuse de sperme. J’en recueillis sur la langue et vins vers lui. Il se laissa faire et je l’embrassai langoureusement. — Quand je pense que ma mère m’avait dit de prendre soin de toi et de te surveiller pour que tu ne commettes pas d’imprudence... — Quand tu penses que mes parents disaient qu’avec toi comme ange-gardien il ne pouvait rein m’arriver... Ils ...
... ne se sont pas trompés... tu prends soin de moi. — Putain ! Qu’est-ce qu’on a fait ! — Tu regrettes ? Moi pas. Je ne pouvais pas rêver mieux pour perdre ma virginité. Tu es allé au-delà de toutes mes attentes. — C’est vrai ? — Oui, et toi ? — Moi, moi... depuis le temps que je me pignole en attendant ça... je réalise pas... c’est comme dans un rêve... Je me tournai vers lui, posai ma main droite sur sa poitrine dont la pilosité perlait de sueur et déposai un bisou sur son épaule en disant : — Tu as été un amant magnifique... — Et toi la plus fantastique des maîtresses... Ainsi satisfaits de nous-mêmes, le silence s’installant, tout ayant été dit, nous nous endormîmes l’un à côté de l’autre. Dans la nuit, ses ronflements me réveillèrent et je regagnai mon lit non sans avoir regardé encore une fois ce garçon qui m’avait étonnamment si bien baisée, ce sexe mou mais toujours gros incliné sur la cuisse, cette masse puissante que je trouvais désormais attirante et sans avoir pris le soin de ramener le drap sur ces beautés viriles pour qu’il ne prenne pas froid. A suivre.