L'étudiante sodomisée. (1)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... m’avait proposé de faire d’indispensables courses devait passer dans son école d’ingénieurs avant et je pus m’y rendre. Je remarquai juste, pendant le trajet, grâce aux manches courtes de son polo, que ses bras étaient beaucoup plus musclés que dans mon souvenir. Mais comme il était assis quand je montai à bord, je ne pus rien voir d’autre.
J’eus mes pilules et les réponses à mes questions : est-ce que cela me ferait mal, comment me protéger, etc...
Je rentrai à temps pour faire mes courses avec mon cousin mais, retenu à son école il m’envoya un SMS pour me dire qu’il prendrait le nécessaire pour quelques jours, le temps qu’on s’organise. Nous préparâmes notre repas à deux et dînâmes en parlant de choses insignifiantes, du moins à mon sens. Il semblait n’être intéressé que par les études et les sciences. Moi j’aurais bien aimé sortir dès ce soir-là, aller à l’aventure et rencontrer un homme, mais je ne savais pas où aller ne connaissant rien encore à la ville ; Cependant j’en profitai pour mieux le regarder. Il semblait avoir minci et ses fesses, rondes, me parurent plus fermes, à l’image de ses jambes musclées dont le contour se dessinait sous la toile du jean. Il ressemblait finalement à un homme et je commençais à nourrir une certaine curiosité pour ce qui se cachait sous le pantalon, le slip et sous le T-shirt.
Très tôt, il se retira dans sa piaule pour "travailler" et je restais enfermée dans la mienne où je préparai ma rentrée du lendemain avant de lire un ...
... peu. L’air était doux et les bruits de la ville me parvenaient par la fenêtre ouverte. Je vis de jeunes hommes errer dans la rue, torse nu ou en débardeur ; leurs muscles dessinés et leur peau bronzée m’attiraient.
Je portai ma main à mon entrecuisse et me fis plaisir. Après m’être donné un orgasme clitoridien j’eus soif. Il était déjà 23H00 passées.
Le parquet du couloir était faiblement éclairé par un mince filet de lumière bleutée qui passait sous la porte de mon cousin. Il m’avait pourtant dit qu’il se coucherait de bonne heure, car lui aussi devait commencer tôt ; il était visiblement encore devant son ordinateur.
Je regardai évidemment par le trou de la serrure. Heureusement sans clef. Je ne pouvais pas voir autre chose que le bas du lit. J’y vis, presque jusqu’aux genoux, les jambes nues, puissantes et écartées de mon cousin. Je devinai qu’elles étaient toujours très poilues. Il ne travaillait sans doute pas, dans cette position. Peut-être était-il nu... et alors... D’après les copines, il paraît que tous les garçons font cela... pourquoi pas celui-ci même s’il n’a pas l’air d’y toucher ? Et puis de toute façon, même s’il faisait autre chose, cela me donnerait l’opportunité d’en savoir plus, de voir son torse, s’il était nu et même le paquet, ne serait-ce que sous le slip.
Je décidai de satisfaire ma curiosité et d’ouvrir la porte le plus doucement possible pour ne pas faire de bruit. La poignée grinça ainsi que les gonds et le parquet mais il n’entendit rien. ...