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L'étudiante sodomisée. (1)
Datte: 10/04/2019, Catégories: Hétéro Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
... l’air pas mal par rapport à ce qu’on voit... J’en ai jamais touché une... J’ peux la sucer ? C’était une question pour la forme. Je n’attendais pas de réponse négative et je tétai déjà le bout du gland avant qu’il ait pu dire quoi que ce soit. Ce fut une révélation. C’était chaud, doux et dur. Il avait mouillé. C’était légèrement salé. J’aimais. Une fois dans ma bouche, il se détendit complètement. Il gémit. — Hmmmmm... c’est bon... c’est hyper bon... Je rapprochai mon corps du sien de façon à ce que nous nous trouvions presque tête-bêche mais je restai à côté. Il ne fut pas long à me caresser. Ses mains se baladèrent effleurant ma croupe, puis mes cuisses. Il les immisça sous mon corps pour palper les seins. — C’est dommage que tu ne t’épiles pas les couilles. — Ben... toi... tu t’épiles pas la raie. — Non mais moi, c’est la première fois. — Ben... moi aussi. — C’est vrai, t’es puceau ? — Euh... ben oui... j’ai jamais touché une femme... enfin avant maintenant, avant toi là... — C’est possible ça ? Lui demandai-je alors que dix minutes avant j’étais persuadée qu’il n’avait jamais vu de femme. — J’osais pas. — Et tu aimes ? demandai-je le plus vicieusement que je pus. — Oui... Oh oui... c’est bon. Je m’appliquai donc à essayer de le sucer de mon mieux pour le faire encore plus haleter et j’empoignai le membre pour le branler tout en pompant. — Aïe ! Tu me fais mal bourrique ! — Oh, pardon... — Tire moins fort. Tu vas ...
... m’arracher la peau... serre moins fort aussi. — Comme ça ? — Oui... lààààà... oui... comme ça... moins fort, moins f... voilà...... hmmmm... oui la langue là... hmmmm... ramène le prépuce et passe ta langue... oui entre les deux... c’est bien. Oh putain quel pied ! Voilà, tu y es... ah la vache... C’est donc ça une pipe... trop coooool. Je restai ainsi un moment pendant que lui se montrait plus entreprenant. Il mit ses doigts dans ma chatte puis les suça toujours avec les mêmes grognements de plaisir. Alors je revins vers lui et m’allongeai sur son corps chaud et serein. L’homme était à moi. Je lui roulai une pelle extraordinaire. Sa grande bouche et sa langue se révélèrent d’une redoutable efficacité. Pendant qu’on se galochait, il jouait avec mes fesses tenant chaque globe fermement dans ses grandes mains et écartant la raie ou rapprochant chaque hémisphère. Il passait ses doigts sur mon trou et descendait jusqu’à la vulve, puis remontait. Je quittai la bouche, descendis, léchai puis mordillai les tétons et revins à la bite que je pompai avec application toujours attentive à ses plaintes et ondulations corporelles. Puis je m’allongeai sur le dos, à côté de lui, écartai les jambes et lui dis simplement : — Viens. Au lieu de rouler sur moi, il s’agenouilla entre mes jambes, se pencha pour me caresser les seins puis les sucer tout en me doigtant profondément en portant régulièrement ses doigts à ses narines ou à sa bouche. — Quel délice, quel nectar ...