L'étudiante sodomisée. (1)
Datte: 10/04/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: yannlakeu, Source: Xstory
J’avais eu gain de cause mais cela avait été très chaud. Mes parents avaient d’abord voulu me prendre une chambre dans une institution de bonnes sœurs. J’en avais frémi de rage. A quoi servait-il d’aller étudier en ville si c’était pour me retrouver cloîtrée le soir.
Moi j’avais envie de profiter et de profiter des plaisirs défendus. J’avais envie d’un homme. Je voulais à tout prix savoir ce que c’était qu’avoir un homme en moi, plaisir que mes amies connaissaient toutes pour la plupart.
Dans notre chef-lieu de canton, il ne se passait pas grand-chose. Mes parents de surcroît m’interdisaient de sortir le soir ou de rencontrer des garçons à moins que je ne sois dûment chaperonnée.
J’avais cependant parfois échappé à leur vigilance, assez pour comprendre que je ne laissais pas les hommes indifférents mais pas suffisamment pour avoir perdu la fleur de ma jeunesse. Je devais me contenter hélas des plaisirs solitaires. Sous mes dehors de petite jeune fille sage, je bouillais de fantasmes. Plus je devais attendre et plus j’étais folle. J’aurais baisé le premier venu.
Aussi avais-je résolu de perdre mon pucelage dès mon arrivée à Rennes, grande ville étudiante où les circonstances ne devaient pas tarder à m’être favorables.
Je m’étais organisée pour prendre un rendez-vous au planning familial afin de me faire prescrire la pilule et poser certaines questions.
Et puis fort heureusement, certains cours pouvant avoir lieu de 20 H 30 à 22 H 00, mes parents avaient ...
... réalisé que je ne pourrais pas rentrer chez les bonnes sœurs qui fermaient leurs portes une demi-heure plus tard, ou alors il faudrait que je jeûne puisqu’elles ne servaient plus après 20 H 00. Je fis la mine d’être dépitée mais je jubilais !
La solution fut trouvée par la cousine de maman dont le fils, Léon cherchait un ou une colocataire.
Je connaissais un peu mon petit-cousin (que j’appellerais cousin pour plus de commodité), le garçon le plus insignifiant qui fût me semblait-il, gentil calme mais sans rien d’intéressant à dire, du reste parlant peu. Plutôt petit avec 1,75 m, je gardais le souvenir de lui tel que je l’avais vu deux ou trois ans auparavant sur la plage, avec les cheveux et poils très raides et très noirs, les sourcils épais, comme ses traits, un gros nez une grosse bouche, un torse massif mais plus graisseux que musclé et un petit bidon rondelet disgracieux. A l’époque, je ne m’intéressais pas encore à ce qu’il y avait dans le boxer et je ne me souvenais pas du relief que l’objet de ma désormais principale convoitise pouvait créer dans ce sous-vêtement.
Il partageait son appart avec un autre garçon qui devait reprendre un peu plus tard.
Léon avait l’autre avantage de pouvoir m’emmener en voiture ; L’appart était ancien, en périphérie du centre, tout près de la ligne de métro. Nous y parvînmes en début d’après-midi après un trajet des plus ennuyeux et je craignis en plus de rater mon rendez-vous au planning familial. Fort heureusement, Léon qui ...