Au bord du vide
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
hplusag,
jeunes,
vacances,
amour,
dispute,
Oral
pénétratio,
fdanus,
init,
mélo,
prememois,
Auteur: Lilas, Source: Revebebe
... doux et inquisiteurs, sous la serviette humide, caressèrent la peau nue de ses hanches fines, le grain délicat de son ventre, qui se contracta au contact, puis remontèrent jusqu’à ses seins. Marie leva la tête, avec lenteur, croisa ses yeux brûlants.
La serviette tomba au sol avec un « flop » léger. Maxime se rapprocha encore plus près d’elle.
Elle sentit son souffle contre sa joue, le tissu rêche de son jean frôler ses cuisses. Ses mains chaudes vinrent emprisonner la rondeur de ses mamelons, ses paumes titiller leur pointe corail qui se dressèrent à cet effleurement. Puis Max serra ses seins, les roula lentement entre eux, et finit par baisser la tête, lui jetant un regard au passage, et venir lécher d’une langue adroite les tétons pointus.
Le contact doux et humide arracha à Marie des frissons de plaisir. Elle ferma les yeux, et passa la langue sur ses lèvres soudain sèches.
– Tu aimes ça ? demanda Maxime, tout en continuant à sucer avidement les seins tendres.
– Oui… murmura-t-elle. Beaucoup… umm.
Lentement, il la dirigea vers le lit, où elle s’étendit sur le dos, presque sans s’en rendre compte. Il se dressa au-dessus d’elle, immense, ses yeux bleus jetant des éclairs de désir.
Elle ouvrit péniblement les yeux et les referma très vite, submergée de désir à la vision de la bouche de Max entourant d’une langue brûlante la pointe dressée d’un de ses seins.
Puis la langue descendit lentement, plus bas, jusqu’au ventre, où elle s’appropria le nombril ...
... étroit, avant de se glisser d’un seul mouvement entre les cuisses douces de Marie, qui les ouvrit instinctivement.
Tenant ses seins à deux mains, il enfouit son visage dans la chaleur de son entrecuisse, suçant goulûment le clitoris, gonflé de l’attente de toute une journée. Marie fut étonnée de ne ressentir qu’un faible pincement de douleur.
Pincement qui s’évanouit à mesure que la langue parcourait de plus en plus profondément la rondeur doucereuse et frémissante, jusqu’à ce que sa fente s’entrouvre de désir.
Marie poussa un faible gémissement, son corps trembla violemment. Max eut un sourire, et enfonça sa langue dans l’espace rosâtre et odorant à peine ouvert.
Aussitôt, Marie cria, plus fort cette fois. Il lui jeta un rapide coup d’œil, vit sa gorge déployée, ses propres mains brunes contre la peau blanche, presque translucide, des seins de Marie, son ventre nerveux, noué.
Puis il reprit son activité, faisant entrer et sortir sa langue avec une dextérité qui poussa bientôt Marie au bord de la syncope. Sa chatte luisait de désir. Il la dévora avec voracité, plongeant sa bouche dans la chair suintante, y enfonçant sa langue effilée avec vigueur.
Le visage contracté, Marie agrippa la couverture sous elle, la serra dans ses doigts, convulsivement. Elle n’arrivait plus à penser, son corps entier n’était concentré que sur un seul point, un seul centre de plaisir et de sensations.
– Oui… gémissait-elle, au-dessus de lui, éperdue. Oui… Max… ouiii…
Maxime se ...