1. Jour de grève (2)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fh, fhh, inconnu, bizarre, laid(e)s, train, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral attache, totalsexe, Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe

    ... retrouvée.
    
    — De toute façon, tu ne risques pas de tomber.
    
    Et elle éclate de rire. Ce tutoiement soudain et imprévisible me surprend, mais c’est si mignon dans sa bouche que ça me fait plaisir. C’est pratiquement joue contre joue que nous commençons notre voyage. Trop préoccupée à ne pas perdre l’équilibre, ce n’est qu’au bout de quelques minutes que je ressens son corps plaqué contre le mien, sa chaleur, la souplesse de ses seins contre les miens, son ventre ferme. Allons, encore de drôles de pensées. Je ne vais vraiment pas bien, moi.
    
    Je cesse mes réflexions intérieures d’un coup lorsque soudain une pression se fait sentir sur ma fesse droite. Pas de doute possible, il s’agit du dos d’une main qui me caresse lentement. Redoutant sûrement une mauvaise réaction de ma part, je la sens timide, hésitante. Carole a dû sentir un mouvement de mon corps ou bien j’ai serré sa main par réflexe, car elle me regarde interrogative.
    
    — Ça va ?
    — Oui, oui, ça va bien. J’ai juste peur de perdre l’équilibre. Ne t’inquiète pas.
    
    Le type à dû m’entendre, car lui ne s’inquiète plus et me fout franchement la main au cul. Il malaxe mes fesses, tantôt délicatement, tantôt franchement, à la limite de me pincer. Je sens ma main dans celle de Carole devenir moite. Mon ventre s’échauffe déjà et ma respiration s’accélère un peu quand les doigts remontent lentement ma robe. Je me sens rougir en imaginant le type quand il va s’apercevoir que mon cul est nu. Voilà, c’est fait. Il cherche, ...
    ... pensant sûrement que je porte un string, mais ne trouvant rien, il tapote mes fesses pour me faire comprendre qu’il me trouve bien coquine.
    
    — Whouaa ! T’es toute rouge ! T’es sûre que ça va ?
    
    Putain ! Elle devrait le dire encore plus fort.
    
    — Mais oui, t’inquiète pas. Il fait chaud c’est tout.
    
    La main, maintenant plaquée à cheval sur mes deux fesses, me pousse et je dois me raidir pour ne pas mettre mon bassin en avant et provoquer de nouvelles questions de la part de Carole. Elle se demanderait encore ce que je fabrique. La rame arrive à une station et il y a un mouvement de foule. Peur d’être surprise le cul à l’air, je profite de la cohue pour enlever la main de « mon bienfaiteur ». Nous sommes bousculées et sans le vouloir, nous échangeons nos places. Tout ceci est très rapide et je ne réalise pas tout de suite que c’est maintenant Carole qui est collée au type.
    
    Le métro redémarre. Au dessus de l’épaule de Carole, je peux enfin voir qui m’a pelotée. Je ne suis pas plus étonnée que cela de reconnaître le type qui a croisé mon regard sur le quai. Pas étonnée non plus quand ma nouvelle amie me serre la main par saccades pour attirer mon attention. Elle me regarde, puis glisse ses yeux sur le côté pour me faire comprendre que quelque chose se passe derrière elle. Je regarde le type. Il me sourit le plus naturellement du monde et hausse légèrement les épaules d’un air de dire « c’est la vie. ». Que ce soit moi ou une autre, il ne fait pas de différence et a dû ...
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