1. Jour de grève (2)


    Datte: 09/04/2019, Catégories: fh, fhh, inconnu, bizarre, laid(e)s, train, collection, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation Oral attache, totalsexe, Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe

    ... soulever la petite jupe rouge. Certes, je suis troublée par ce retournement de situation, mais j’y trouve énormément de plaisir. Ironique, je ne peux m’empêcher de demander à bibiche :
    
    — Whouaaa ! Tu as chaud ? Tu es toute rouge. T’es sûre que ça va ?
    
    Il y a comme un éclair dans son regard. Je sens qu’elle a compris la pointe de sarcasme qui se cachait dans ma phrase. Elle me fait des yeux de merlan frit et se mord la lèvre inférieure. Je serre sa main et caresse l’intérieur de son poignet avec mon pouce. Elle semble me faire confiance et prendre sur elle. Son regard se détend, elle esquisse un léger sourire et ferme les yeux. S’engage alors un dialogue avec le type, juste avec les yeux et de légers mouvements de la tête.
    
    Lui : C’est bon ? Elle a l’air d’aimer ?Moi : Ben oui, ça a l’air.Lui : Je vais aller plus loin.Moi : C’est vous qui voyez, moi je ne réponds de rien.
    
    Soudain, elle écarquille les yeux et fait un rond avec sa bouche. Puis, je la sens s’agiter, se dandiner. Tout doucement pour que personne n’entende, je lui murmure :
    
    — Chuttt ! Reste calme. Ne t’énerve pas.
    — Mais il a sorti son truc. Je le sens.
    
    Je pose sa main sur son ventre.
    
    — Tu n’as pas chaud là ?
    
    Elle me répond « oui » d’un petit signe de tête. Puis, sans hésiter une seconde de plus, je soulève sa jupe et caresse son sexe au travers de sa petite culotte de coton.
    
    — Et là ? Tu n’as pas chaud, là ?
    
    Ho si ! Elle a chaud, la petite. Sa culotte est bouillante, humide. Moi aussi ...
    ... je suis humide et chaude comme la braise. C’est la première fois que je touche une femme et ça m’excite vraiment beaucoup. Elle s’est calmée et accepte la caresse que lui applique l’homme. Elle semble également apprécier ma main qui se promène de sa culotte à ses cuisses, de ses cuisses à son entrejambe. Soudain, elle refait des yeux de poisson mort et me chuchote quelque chose. Elle le dit si peu fort que je n’entends rien. Alors, elle plonge son visage dans mes cheveux et pose ses lèvres sur mon oreille. Sa tête ainsi dégagée, je vois bien celle du type. Il a fermé les yeux et semble pris de tremblements qui ne correspondent pas aux secousses que procure le train.
    
    — Il a glissé sa queue dans ma culotte et la frotte contre ma raie.
    
    Ça explique ces soubresauts pas franchement naturels. Il se masturbe littéralement entre ses fesses. Mais bibiche, la surprise passée, semble maintenant apprécier. Les yeux fermés, se mordant les lèvres, elle se laisse aller à ce plaisir inattendu. Alors que je scrute les regards voisins, prête à donner l’alerte au moindre doute, il se passe quelque chose. Carole ouvre les yeux en grand et rougit comme une pivoine. Elle semble paniquée. L’homme, d’un coup, ne bouge plus. De l’élastique de la petite culotte, je sens un liquide gluant couler sur les cuisses de Carole.
    
    La semence chaude doit s’étaler dans le tissu qui, hélas, ne peut tout absorber. J’arrive à sortir discrètement un mouchoir de mon sac et essuie, tant bien que mal, le foutre ...
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