Jour de grève (2)
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
bizarre,
laid(e)s,
train,
collection,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
attache,
totalsexe,
Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe
... excusez-moi.
Je retire sa main et me faufile jusqu’à la porte. Arrivée à la station, je peux enfin me libérer de ce voyage infernal. Je respire un grand coup. Je me retourne pour voir si le puceau ne m’a pas suivie. Je l’aperçois au fond du wagon. Il lèche sa main avec délice. Je n’en peux plus et j’éclate de rire, nerveusement. Je m’assois un moment pour reprendre mes esprits. Je réalise que c’est ma station. J’ai fait l’aller-retour et je n’ai pas été au boulot. Bravo !
— Ben ? Qu’est ce que tu fiches là ? Tu n’es pas au boulot ?
C’est la petite Carole qui vient de s’asseoir près de moi, visiblement remise de ses émotions.
— Ben non, et toi ? Tu es partie si vite.
— J’ai couru dans un bistro pour limiter les dégâts. Ma culotte y est restée. Ensuite, je suis allée au bureau.
Ça y est, le moulin à parole s’est remis en route. Mais ce qu’elle me dit capte mon attention.
— Je me suis rendue dans le bureau de mon patron et je lui ai expliqué. Il a très bien compris, comme tu me l’avais dit et il m’a dit de ne pas m’inquiéter. Super gentil, le mec. Mais quand je lui ai tourné le dos pour sortir, il m’a rappelé.
« Mademoiselle Moreau, il est inconcevable que je vous laisse déambuler dans les bureaux ainsi. »
Étonnée, je regarde mes vêtements et lui fais remarquer que je suis correcte et que ma jupe n’est pas trop courte. Là, il me fait remarquer que ce n’est pas de cela dont il s’agit, mais d’une énorme tache que j’avais sur l’arrière de ma jupe. Je suis ...
... devenue toute rouge. Il m’a fait remarquer que je ne pouvais pas sortir de son bureau ainsi, car jusqu’aux toilettes, la moitié du personnel pourrait me voir. Je ne savais plus où me mettre. Alors, me voyant gênée, il m’a tendu un mouchoir en papier et m’a indiqué la fontaine d’eau près de son bureau.
— Ce n’est pas si grave, venez vous nettoyer et attendez que ça sèche.
Mais alors que je mouillais le mouchoir, il me dit :
— Ou avez-vous été vous fourrer ? Drôle de tache. On dirait du… non, ça ne peut pas être ça, excusez-moi… pourtant…
Alors penaude, j’ai avoué mon aventure.
— Et ben dis donc ! Il a dû être surpris ? lui dis-je.
— Non, pas vraiment. En fait, c’est moi qui ai été surprise, quand il m’a demandé si cette péripétie m’avait troublée. Et moi, gourde que je suis, je lui ai confessé que ça m’avait enchanté. Alors il m’a fait un grand sourire et a glissé sa main entre mes cuisses sous ma jupe en me disant qu’il avait toujours rêvé d’avoir des collaborateurs tels que moi.
— Il t’a baisée ?
Bibiche rougit comme une pivoine.
— Oui… sur le bureau. Puis, il m’a donné l’autorisation de rentrer chez moi.
— Hum ! Je pense que tu vas faire une belle carrière, toi.
— Et toi ? Ton patron aussi t’a dit de rentrer ?
— Oui… On va dire ça, Carole.
Elle se lève, toute émoustillée d’avoir raconté son aventure. Elle me fait la bise et s’éloigne en sautillant. Elle fait dix mètres et revient en courant. Elle s’accroupit devant moi, pose ses mains sur mes ...