Jour de grève (2)
Datte: 09/04/2019,
Catégories:
fh,
fhh,
inconnu,
bizarre,
laid(e)s,
train,
collection,
hdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
Masturbation
Oral
attache,
totalsexe,
Auteur: Claude Lamour, Source: Revebebe
... de sa ceinture. Je baisse mon bras et sans hésiter, j’attrape sa verge gonflée de désir. Elle est de bonne taille, bien dure, chaude. Son gland mouille abondamment et j’aime ça. Je jette ma tête en arrière pour offrir mon cou à ses baisers. Il libère mon autre main et replonge entre mes seins. Je pose ma main derrière le crâne du chauve pour appuyer son visage sur ma chatte qui explose. Je me libère, j’explose et je pousse un cri de bonheur. Il me semble me vider dans sa bouche. Brusquement, il se relève et s’assoit sur un strapontin.
— Viens vite, viens là !
Sa queue m’invite, comme un bras tendu vers moi. Afin de ne pas délaisser le gentil barbu, je m’assois de dos sur le pilon violacé. Je me laisse glisser et remplir au fur et à mesure que mes fesses se rapprochent de ses couilles. Une fois bien enfoncée en moi, je la touille un peu pour bien la sentir contre mes parois inondées. Il m’attrape par les hanches et m’aide à appliquer un mouvement de haut en bas sur sa tringle d’acier. Face à moi, le barbu cambré, me tend son braquemart trempé. Je l’attrape à deux mains et l’attire à ma bouche. Il pousse un râle lorsque ma bouche devient le fourreau de son épée. J’aspire, je suce, je lèche le bel engin lorsqu’il commence à avoir des soubresauts et explose en longues giclées au fond de ma gorge. C’est une quantité de foutre impressionnante qui demande à être avalée et j’ai bien du mal à ne pas m’étrangler. J’absorbe tout ce que je peux, récupérant dans mes mains de longs ...
... filets de liqueur qui s’échappent des commissures de mes lèvres.
Soudain, mon utérus, lui aussi, est aspergé par de violentes propulsions de liqueur bouillante. Tout en léchant mes mains avec avidité, je jouis une nouvelle fois au fur et à mesure que je sens ma chatte se remplir. La rame redémarre. Les secousses du métro qui roule transforment toute la voiture en un gode géant. Chaque vibration traverse mon corps et me propulse dans les étoiles. Je suis ailleurs.
Le chauve attrape mes jambes derrière mes genoux et les remonte. Je suis pliée en deux sur lui. Il se lève en me soulevant. La manœuvre expulse son dard de mon ventre et je sens ma chatte grande ouverte se vider. Il me garde ainsi contre lui, roulée, les genoux contre mes épaules et s’approche de la barre chromée. Le contact froid de la barre avec ma chatte me fait revenir sur terre en me provoquant de grands et longs frissons. Il fait glisser ma fente baveuse le long du métal brillant. Mon clito, écrasé, frotté, se gonfle à nouveau et un nouvel orgasme me guette. Mais soudain…
— Merde ! Maurice ! La station !
Je me retrouve debout très rapidement et alors que la lumière blanche de la station envahit le wagon, « Maurice » me pousse violemment dans un coin et me plaque aux vitres. Il se place près de moi et me dit :
— Ne bouge pas, ils ne verront rien.
Tout s’est passé si vite, qu’il m’a été impossible de refermer ma robe. Je n’ai même pas eu le temps de la rabattre sur moi. Rapidement, le corps, les ...