1. Complexe vaincu 5


    Datte: 07/04/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Accent, Source: Hds

    ... cul bienheureux que tu as inauguré il y a peu de temps. Tu as compris qu’elle apprécie.
    
    Joseph me quittait. Une énorme claque sur son postérieur le renvoie dans mon trou. La peau de mon cul reprend sa place dans la souffrance. Joseph obéit, entame un nouveau mouvement de piston. Je tourne la tête et,à mon tour, je vois mon mari. La catastrophe est en route. Robert me parle :
    
    - Ma chérie tu as trouvé le bon remède.
    
    Ma chérie ? C’est fou, je continue à planer. Un mari ne peut pas s’adresser à sa femme en ces termes quand il assiste à un tel spectacle. Le bon remède ? Je lui fabrique des cornes en or et il déclare que c’est bon. C’est vrai, cela a été superbe, magnifique. Bon pour moi, oui! Bon pour mes amants, oui! Mais bon pour lui, non. J’ai du mal à atterrir. J’entends de mieux en mieux. Il est debout à côtés de trois corps allongés et unis, dans une position dominante ; il parle encore. Son élocution est normale, il ne hurle pas de fureur comme il devrait le faire à cause de la situation. Non il parle calmement il déclare les yeux rivés sur moi:
    
    - Je l’avais prévu avant de m’unir à toi. Souviens toi. Je t‘avais mise en garde « Demeurer fidèle à une petite queue n’est pas possible pour une femme normale. » Or tu es normale. Tu en fais l’expérience, sans rechigner sur les moyens à ce que je constate. Tu es là coincée entre deux hommes et tes cris de jouissance m‘ont arraché des larmes de joie et réjoui le cœur. Enfin tu trouves la volupté que tu mérites. C’est ...
    ... ton bon choix. Use de tes deux amants selon ton bon vouloir. A l’avenir le lundi et le jeudi je ne reviendrai pas à la maison avant 21 heures.
    
    Il est agacé mais veut le cacher. L’orage guette. Je tente l’apaisement, il me coupe la parole :
    
    - Robert… je t’en prie
    
    - Tu disposeras donc deux fois par semaine de quatre heures pour folâtrer avec tes amants, pour te faire bourriner par ton étalon Abel ou pour te faire sabrer par la dague acérée de Joseph. Et vous deux, mes gaillards, rendez-la heureuse, dépensez vos forces et vos moyens sans compter pour la faire jouir. Enfilez, tringlez, bourrez, foutez et farcissez la. Gare à vous si vous ne comblez pas ses désirs, si vous n’êtes pas à la hauteur de ses besoins sexuels. Vous avez voulu vous faire ma femme, vous la possédez, je vous la prêterai, mais faites preuves de dévouement et de persévérance. Comblez la , quelle jouisse grâce à vous et me revienne apaisée après vos passes.
    
    Mais, où est le piège ?
    
    - Peut-être faudra-t-il rajouter un jour ou deux dans la semaine, vous le préciserez. Je verrai ce qui sera nécessaire à sa bonne santé. Si j’apprends que ma femme doit recourir à d’autres baiseurs pour assouvir ses envies, vous en pâtirez. Je serai intraitable. Offerte, trouvez lui autant d’attraits que volée. Enfin, ou vous cessez tout autre commerce avec des femmes ou vous utiliserez dorénavant des préservatifs. Abel, tu m’as compris ?
    
    J’étouffe de honte dans la position inconfortable où Robert m’a maintenue avec ...
«1234...»