1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... déchaussé sur la table basse qu’elle avait judicieusement disposée à côté du fauteuil. Finalement elle posa la tête de profil sur le coussin du fauteuil, enlaçant ce dernier avec ses bras avant d’écarter encore plus ses grosses fesses. Spectacle grandiose s’il en était : deux fesses énormes et fermes qui dévoilaient la foufoune dodue émergeant de l’ouverture béante, un trou du cul brillant d’huile qui commençait juste à suinter doucement. Quel cul !
    
    Ma première sodomie ne m’a pas laissé un souvenir inoubliable ; mon pénis était trop emprisonné dans ce conduit étroit. Mais bon, c’était l’envie de me faire plaisir qui comptait.
    
    Puis vint la semaine où mon épouse et moi étions invités chez Annick et son mari, près du Canet.
    
    Annick et moi, on s’envoyait en l’air tous les jours – ou plutôt tous les matins – avant que nos conjoints respectifs, lève-tard tous les deux, ne daignent ouvrir un œil ! Annick, peinée de mon manque d’enthousiasme pour la pénétration par la petite entrée de service, insista pour que je refasse un second essai, mais il ne fut pas plus convaincant.
    
    Le jour du départ, Annick ne manqua pas de me rappeler que je lui devais désormais une fidélité absolue.
    
    Fin août, ma voisine adorable de quatre-vingt-six ans nous quitta. Pour l’enterrement, mon pantalon et la chemise prévus pour ce genre d’événement étaient lavés mais pas repassés ; et pour cause : c’était ma voisine qui le faisait d’habitude. Je devais assumer seul puisque mon épouse ...
    ... participait à un voyage culturel de plusieurs jours en Autriche. Pris à la gorge, je sollicitai l’aide de la grande Solange ; elle me devait bien ça.
    
    Curieusement, elle me fixa une heure précise, justement le créneau horaire où son mari serait absent, mais je ne pris conscience de ce piège qu’après qu’elle voulut que je paie ses services en nature.
    
    Le temps étant splendide, Solange m’entraîna dans le salon de jardin au milieu de la pelouse où elle se déshabilla joyeusement, me laissant encore dégrafer son soutif. Elle fit balader ses gros nichons dans l’espace sans que je le lui demande, et on engagea les hostilités champêtres.
    
    Après un travail consciencieux, Solange venait d’obtenir une fort belle érection de mon pénis quand, toute excitée, elle bondit chercher son smartphone pour me photographier, tout nu avec la queue bien raide et parallèle au sol. Je lui rendis la pareille en l’immortalisant dans deux ou trois poses scabreuses, les jambes bien ouvertes et la foufoune poilue bien exposée. Solange, toute guillerette, s’allongea sur le dos sur la table de salon du jardinet et s’arrima par les mains aux bords de la table. J’avais passé mes bras derrière l’articulation de ses genoux et, les mains agrippées à ses mamelles, je l’enfilais avec fougue. Je n’avais aucune mauvaise conscience, ni envers Annick, et encore moins envers son mari, cocu encore une fois.
    
    La grande Solange, après avoir repris son souffle, descendit précipitamment de la table, fit quelques pas dans la ...