1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... pelouse, me tourna le dos, fléchit les jambes et commença à faire pipi. J’observais la scène, par derrière. Un petit filet s’échappa d’abord avant de céder la place à un jet puissant.
    
    Solange hurla quand elle m’aperçut, face à elle, la visant avec mon smartphone. L’envie était si pressante que j’eus le temps de prendre deux photos en toute sérénité. Pour me faire pardonner, je dus quand même concéder à lui payer le resto la semaine qui suivit.
    
    Je n’avais jamais eu de petite amie, même depuis notre décision avec mon épouse de continuer à vivre ensemble, mais en cohabitation. Évidemment, dans mes rêves les plus extravagants, j’avais pris en levrette plusieurs fois la pharmacienne et je l’avais fait hurler de plaisir. Une de mes collaboratrices m’avait supplié de la sodomiser dans mon bureau, et toutes les dames baisables de ma rue et des rues adjacentes étaient passées à la casserole et en redemandaient !
    
    Pendant les mois qui suivirent, je pris la précaution de gérer cette nouvelle situation : avoir deux petites amies exigeait un peu de logistique. Sur mon agenda, la grande Solange figurait sous le patronyme, très poétique, de G.N. : Gros Nichons. Bien entendu, Annick était devenue G.C.
    
    Avec G.C., les relations étaient teintées de sentiment. Au printemps, quand son mari partait taquiner le goujon toute la journée, je la sortais au resto avant de forniquer. La classe, quoi ! Un bémol quand même : Annick était d’une jalousie maladive à mon encontre. Au moindre regard ...
    ... appuyé sur une dame au resto ou ailleurs, elle poussait sa grosse colère, allant même jusqu’à invectiver la pauvre dame qui m’avait souri.
    
    G.N., elle, était surtout portée sur la petite baise sympa, une fois de temps en temps, pour rattraper tardivement le manque d’enthousiasme de son époux pour les choses du sexe, d’après elle dû à une éducation stricte de parents rigoureux.
    
    J’ai cru un moment que ma vie sexuelle était devenue un long fleuve tranquille ! Il était temps, à bientôt soixante-quatre ans…
    
    J’ai vite déchanté. Quand Annick rentra du Sud, fin octobre, pour s’installer trois mois et passer les fêtes avec ses petits-enfants, je fus sur les genoux. Honorer ces dames, chacune au moins deux fois par semaine, n’était pas une sinécure. Je n’étais plus un jeune homme, et ce qui aurait dû être que partie de plaisir se transforma en galère.
    
    C’est dans cette période éreintante que mon frère aîné me téléphona un soir :
    
    — J’ai fait une grosse connerie, Pierre. J’ai eu une liaison avec une copine mariée plus jeune que moi, et on a été surpris, certainement à la sortie d’un motel. Toujours est-il que Mathilde l’a appris et qu’elle m’a foutu dehors. J’ai émigré dans notre appartement de Honfleur en attendant des jours meilleurs, mais Mathilde raccroche à chaque fois que je lui téléphone. Il faut que tu me tires de là.
    
    Ma belle-sœur, Mathilde, avait le même âge que mon frère, c’est à dire qu’elle allait sur ses soixante-dix ans. Elle n’était pas très futée, un peu ...
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