1. Il n'est jamais trop tard pour mal faire


    Datte: 25/02/2018, Catégories: fffh, hagé, fagée, grosseins, groscul, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral pénétratio, fdanus, fsodo, confession, Humour Auteur: XXL, Source: Revebebe

    ... Solange, ingénieur chez Airbus, en Allemagne. Elle attendait d’ailleurs un heureux événement pour la fin du mois.
    
    Les deux collectionneurs étaient sur Internet sur un site de cailloux. Je cassais des coques de pistaches pour l’apéro. Annick et mon épouse, assises et serrées sur un petit canapé, visionnaient l’écran du smartphone que Solange leur passait et dont elle commentait les images, accroupie à côté du divan. Le kyste qui enlaidissait son visage du côté droit, près de la commissure des lèvres, semblait avoir grossi depuis notre dernière rencontre. Le devant de sa jupe était remonté sur ses jambes, découvrant ainsi de gros genoux. L’arrière de la jupe grise traînait sur le sol. Inconsciente de sa position indécente, Solange continuait à commenter les images qui défilaient sur le smartphone. Finalement, c’était des bas qu’elle portait car j’aperçus la lisière de l’un deux sur une de ses cuisses. Solange changea de position car elle avait des fourmis dans un pied. Là, c’était encore mieux : je découvris sa petite culotte ; elle était jaune abricot. Décidément, elle aimait bien les alliances tranchées de couleurs. Le tissu synthétique devait être fin car son minou était parfaitement moulé dedans. Les deux renflements étaient parfaitement visibles ainsi que l’emplacement de la fente, au milieu, qui semblait aspirer le tissu entre les deux protubérances latérales.
    
    Deux semaines passèrent ; la famille Lafarge était au Canet jusqu’en septembre. Mon épouse passait ...
    ... quelques jours chez une cousine que je n’aimais pas du tout. J’avais pris le prétexte de finir mes plantations dans le jardin pour m’éviter la cousine. C’était l’Amérique ! Seul maître à bord, et sans aucune contrainte …
    
    Il se faisait 17 heures ; il ne me restait qu’à planter mes échalotes et tondre la pelouse. Je faisais une pause cigarette quand la tête de Claire apparut au-dessus du petit mur qui séparait nos jardins.
    
    — Pierre, il y a une dame, très grande, qui a sonné à ma porte. Elle pleurnichait et avait l’air dans tous ses états. Elle m’a suppliée d’aller voir dans le jardin si tu n’y étais pas car elle a absolument besoin de ton aide !
    
    Le tee-shirt trempé de sueur, le vieux jean déchiré et les bottes crottées, je suis donc passé par la petite porte du garage, un peu inquiet quand même.
    
    C’était Solange, qui m’expliqua, entre deux larmes, le dernier coup de son mari : monsieur avait encore attendu le dernier jour pour confirmer la réservation de leurs billets TGV. Ils devaient s’occuper des enfants avant et pendant l’accouchement et l’hospitalisation de leur fille, à Stuttgart. Le seul problème, c’est que leur ordinateur refusait de s’allumer et que leur voisin – dont il aurait pu éventuellement utiliser le PC – était en vacances. J’étais donc quasiment son dernier recours, à moins de faire 70 km pour aller chez son frère.
    
    — Je suis prête à tout pour que tu viennes à mon aide, et en plus ça serait de bon cœur, histoire de faire payer enfin à mon mari son laxisme ...
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