1. Une panne vite oubliée


    Datte: 24/02/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... nerveusement, le rose aux joues sous le regard intrigué de sa nièce. Il est temps de reprendre une attitude un peu plus convenue.
    
    Au retour, galanterie oblige, je laisse les deux femmes devant, et m’installe à l’arrière.
    
    Arrivés chez Marie-José, celle-ci me propose de dormir sur place, dans le clic-clac du salon.
    
    Tandis que je l’aide à préparer le lit, Gwen, qui était montée se coucher, redescend, et traverse la pièce vers le jardin :
    
    « Il fait une chaleur de ouf, là haut ! je vais prendre l’air dans le jardin. » dit elle avant de disparaître. Marie-josé me souhaite une bonne nuit et monte à l’étage. Je me deshabille et me glisse dans le lit, couvert juste par un drap. J’éteins, mais , sans doute à cause du café, j’ai du mal à trouver le sommeil. Vétu d’un caleçon, je me lève et sors dans le jardin pour m’en griller une. Sous la lumière diffuse de la lune, allongée sur un transat, Gwen s’est débarrassée de son jean, et son tee-shirt est remonté assez haut pour dévoiler la sienne, de lune, qu’elle a fort jolie d’ailleurs
    
    « Ah, toi aussi tu crèves de chaud ! dit elle en tournant la tête vers moi. Le spectacle te plait ? »
    
    « Je ne suis pas venu pour ça, mais tu as un joli postérieur. »
    
    « C’était une connerie, le jean. La prochaine fois je mets une mini. Tu ne peux pas savoir comme ça fait du bien, après avoir fondu dans un jean, de sentir l’air frais caresser mon cul. »
    
    « Bon, moi je vais te laisser. Il fait bon ici, mais le paysage ne va pas m’aider à ...
    ... m’endormir »
    
    « Tu es à l’étroit dans ton calbut ? »
    
    « ça commence » concédai-je
    
    « Je croyais que tu en pinçais pour ma tante. »
    
    « Je n’en suis pas moins homme. »
    
    « hmmm, c’est ça les mecs, en fait dès qu’un jupon passe à proximité, vous ne vous contrôlez plus. »
    
    « c’est un peu vrai « admis-je « mais le jupon est un peu court » dis-je en reprenant le chemin du salon tandis qu’elle me poursuivait de son rire.
    
    Je me mis rapidement au lit, mais, tandis que je tentais de m’endormir, j’entendis des pas légers dans la pièce, et la lumière s’alluma dans la cuisine. Pensant que c’était Gwen, je me levais, en caleçon pour aller dans la cuisine où je tombais sur Marie-José. Elle s’était changée et portait un peignoir de soie noire sagement croisé sur ses formes généreuses.
    
    « Gwen a raison, il fait une chaleur de fou en haut. Je suis venue chercher de l’eau » dit elle en me montrant la bouteille qu’elle tenait à la main. »
    
    « Si tu veux, je sais quoi faire contre la chaleur » déclarai-je
    
    « Ah oui, ça m’intéresse, mais je n’ai pas de clim, ici »
    
    « Pas besoin, laisse moi faire » dis-je en ouvrant le frigo. Je trouvai rapidement ce que je cherchais et sortis le bac à glacons. J’en saisis un gros et le fais légèrement fondre dans ma main. Puis, je commence à le promener sur le cou de Marie-José, qui, après un léger sursaut, me laissa faire en soupirant d’aise. Je remonte et la fais pivoter, dos à moi, relevant ses cheveux pour passer la glace sur sa nuque que je ...
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