Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... vient me dire : « au bar, il y a quelqu’un pour toi. » Je finis de débarrasser une table et je me dirige vers le bar . Marie José, n’est pas venue seule, hélas, et je vois déjà mes projets de conquète s’envoler en fumée. Je fais néanmoins bonne figure, et vais saluer les arrivantes.
« Tu as vu, je suis venue, bien qu’il soit assez tard » me lance Marie-José en me faisant la bise. « Laisse moi te présenter, Gwénaelle, ma nièce, qui est en vacances chez moi pour un temps, et qu’on appelle Gwen. Gwen, je te présente Steve, à qui je suis venue porter secours, et qui nous invite pour me remercier. »
La demoiselle est plus grande d’une demi-tête que sa tante. Elle est aussi plus charpentée, même si les proportions sont harmonieuses. Elle porte un jean et un tee-shirt blanc que ses seins , visiblement libres, semblent vouloir percer. Son visage est harmonieux et discrètement hâlé, ce qui fait ressortir deux yeux turquoise, sous un amas de boucles blondes, presque blanches. Comme entrée en matière, elle a un sourire narquois et lâche :
« c’est sur qu’on sent bien qu’il a besoin d’aide, et de protection. »
« pas aujourd’hui » me hatai-je de préciser. » Laissez moi quelques minutes pour me préparer, et nous partons. »
J’avais réservé un restaurant assez réputé qui servait tard dans la nuit. Nous y passames un bon moment, dégustant les mets fins sous la voute étoilée de la terrasse. Marie José nous racontait des anecdotes de son métier de Kiné, et j’essayais, de mon côté ...
... de me montrer aussi amusant que possible. Gwen, parlait peu mais participait quand même à la conversation par son écoute et ses rires. Sa tenue décontractée était à l’opposé de sa tante qui avait, pour l’occasion, choisi une courte robe colorée avec un profond décolleté creusant un sillon vertigineux entre ses seins opulents. Profitant de ma position (je suis assis à côté d’elle), je pose ma main sur sa jambe, qui se dérobe. Mais c’est mal me connaître, et quelques instants plus tard je recommence. A plusieurs reprise, elle repousse discrètement ma main, mais finit par capituler devant mon insistance. Ecoutant d’une oreille distraite la conversation, je fais glisser ma main vers le haut, accrochant, au passage, le bas de sa robe. Mes doigts s’étendent vers la chair tendre de l’intérieur des cuisses. Son visage ne laisse rien paraître, mais elle a stoppé ma progression en resserrant violemment les cuisses. Je ne peux, ni avancer, ni reculer, et elle finit par le comprendre. Elle relache un peu la tension sur ma main, et mes doigts libérés, qui s’envolent pour venir frapper doucement sur une culotte qui je trouve plutôt humide. Petit à petit, ses jambes s’écartent, et je n’ai qu’à repousser l’élastique pour me faufiler sous le tissu et atteindre sa moiteur. Elle a un léger hoquet quand j’introduis un doigt en elle,mais elle me laisse le champ libre. J’en profite pour raconter la dernière histoire drole tout en imprimant un mouvement de rotation autour de son clitoris. Elle rit ...