Une panne vite oubliée
Datte: 24/02/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Poesexe, Source: Hds
... s’approche et nous observe, en passant la main dans les cheveux de sa tante. Je recommence à limer doucement.
« Ma chère tante, ce n’est pas la première fois que je te vois t’envoyer en l’air. Malgré ton air de bourgeoise BCBG, tu n’es pas si coincée. »
« Comment çà » hoquete la tante en continuant de subir mes assauts
« Tu es heureuse de recueillir mes confidences, et tu sais bien que je ne suis pas une oie blanche, mais j’ai de qui tenir. Figure toi que celui qui s’agite en ce moment dans ton popotin, défonçait le mien, il y a quelques heures, à peine. »
« Quoi ! » s’écrie Marie-José en se débattant, mais je la cramponne bien et je ramone consciencieusement son fondement.
« Oh rassure toi, c’est la première fois que j’ai envie d’un de tes mecs. Pourtant généralement, tu as bon goût. Laisse toi aller, et profites, il ne te reste que quelques minutes. »
A ces mots, la panique semble s’emparer de Marie-José. Elle se cambre et me dit
« ça suffit maintenant, finissons en. »
« Je suis d’accord » lui dis-je en accélérant mes coups de piston
Notre cavalcade, un instant interrompue reprend. Gwen vient m’offrir ses lèvres, et sa langue pointue vient taper sur mes dents avant de s’enrouler sur la mienne. Sa main glisse entre les jambes de sa tante et s’empare de sa chatte, titillant le clito, tandis que je ahanne à grands coups de rein, venant claquer bruyamment sur le fessier offert.
La tante, d’abord surprise, gémit de plus en plus fort, et se lâche ...
... finalement avec un bref cri, pendant que je me vide dans ses intestins.
Aussitôt, elle reprend ses esprits, et me repousse pour se relever. Jetant un coup d’œil à sa montre, elle reboutonne hativement sa blouse et nous repousse Gwen et moi, dans la salle d’examen.
Juste à temps, car on frappe et la porte s’ouvre sur une femme d’une quarantaine d’années
« J’ai fini, docteur » dit elle
« C’est bien, vous pouvez y aller, on se revoit jeudi » dit Marie-José debout à côté de son bureau. La femme un peu étonnée, sans doute, par la coiffure ébouriffée, et le désordre sur le bureau, salue, et referme la porte en partant. A t’elle noté, les dégoulinures qui strient les jambes de sa kiné. On ne le saura jamais.
Je prends congé de la kiné qui s’enfuit faire un brin de toilette avant d’autres patients. Une fois habillé, je traverse la maison, pour partir. Dehors un soleil de plomb écrase la rue déserte. J’ouvre ma voiture en grand, pour rendre l’intérieur plus supportable.
« Tu partais sans me dire au revoir ? »
Gwen est sur le pas de la porte, toujours en maillot mini, avec un petit top à bretelles qui peine à contenir ses seins haut perchés. Elle traverse la rue, insensible au bitume brûlant et vient se coller à moi. Elle m’embrasse furieusement.
« J’espère que tout se passera bien avec ta tante. »
« Pas de soucis, on se chamaille parfois, mais ça ne peut pas durer longtemps. »
« tant mieux »
« tu as une piscine, là où tu es ? »
« oui, bien sur. »
« ...