Le chenil (1)
Datte: 04/04/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... est surprise, cela passe très vite et la voilà qui me boit tout sourire, qui plus est.
Sur son visage, son corps coule mon urine comme dans sa gorge et en plus, elle l’étale sur son corps de ses mains comme si elle se lave. Elle me plaît, j’en suis fou de cette femme. Puis je l’embrasse avec furie, une furie tout amoureuse. Ma pisse, le sperme de Hunk, je bande. Le monde et la vie de Colette, j’en suis fou, voilà la seule et l’unique constatation que je puisse faire.
Avec rage, elle me retire mon pantalon, mes chaussettes et tout le reste. Nu avec elle, nous déambulons parmi les enclos. Elle me donne les noms de tous ses chiens, leurs pedigrees. Cela étant, si l’un des propriétaires débarque, Colette aura de quoi se vêtir vite; pas moi. L’envie de vivre avec cette femme se fait encore plus sérieusement ressentir. Je deviens marteau loin d’elle et de ses chiens. Devant une bonne tasse de café et un bon calvados, nous en discutons, même si cela peut paraître trop vite. Il y a que je suis réellement tombé raide-dingue de cette femme, et elle ne me contredit pas, loin de là. Nous sommes collés l’un à l’autre, nous puons la sueur, la pisse, l’odeur de ces chiens. Qu’importe, elle me veut et je la veux avec tout ce qui vit autour d’elle et tout ce qu’elle aime et que j’aime maintenant. Et ce n’est pas Hunk qui va me dire le contraire, il m’a déjà adopté depuis la forêt.
Depuis, je fais quotidiennement les trajets entre mon atelier et le chenil. Dans un coin, une sorte ...
... d’abri, je me mets à le refaire entièrement pour y mettre mes machines. En quelque mois, mon nouvel atelier agrandi est prêt et fonctionne à plein rendement. Il y a une chose qui a changé, je ne porte rien quand je bosse, enfin si, un tablier de cuir bien épais. Dès qu’un client arrive, j’enfile juste un pantalon et mes chaussures.
Chaque matin, je me lève avec Hunk qui me lèche les burnes pendant que ma belle me suce la bite. Chaque jour, je promène Colette, nue, en laisse parmi ses chiens; j’en choisis un ou plusieurs qui vont la baiser avant que je ne la baise ou l’encule à mon tour. Devant moi, Colette se fait chienne, ce qu’elle adore faire. Plus je repousse nos limites, plus nous sommes heureux. Des limites, il n’en est guère qui nous rebute. Parfois, Colette peut rester toute une journée dans un enclos, et même la nuit si elle s’est montrée insupportable. Je sais qu’elle adore cela, elle me l’a confié sur l’oreiller. Je la punis de temps à autre, ma main est l’instrument avec lequel je fesse ma désormais belle petite chienne. Elle adore jouer les impudentes afin que je la fesse. J’aime cette femme plus que tout au monde.
Dans la petite clairière, il n’est pas rare que nous y venions, accompagnés de plusieurs bons gros mâles qui vont la baiser jusqu’à ne plus pouvoir. C’est dans ces moments-là que Colette jouit divinement. Qu’elle laisse son corps exprimer tout son plaisir, c’est là tout notre bonheur. Me séparer de cette femme équivaudrait à me jeter du haut d’une ...