Le chenil (1)
Datte: 04/04/2019,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: charimarien, Source: Xstory
... chenil qui ne l’ait pas entreprise. J’avoue que de le savoir me donne des envies encore plus grandes. C’est encore ensemble que nous jouissons; le chien jouit à son tour, dans le cul de Colette, le temps que son nœud se dégonfle.
Ensuite, par la main, nos corps recouverts de notre transpiration, je guide Colette dehors. Dès que les chiens voient Colette, c’est presque l’émeute. Cela aboie de partout dans le chenil. Contre un grillage, j’y adosse Colette, lui relève une jambe et glisse mon sexe toujours aussi tendu dans le sien. Les chiens nous regardent, aboyant à qui mieux mieux. Certains hurlant pratiquement comme des loups à la lune. Plus nous baisons sauvagement, plus les chiens s’excitent. Quand elle jouit, Colette, je ne peux m’empêcher de lui dire que j’aime profondément son monde.
Enfin, sous une bonne douche, l’aveu d’une envie de la voir prise par ses chiens se glisse dans l’oreille de Colette. Elle ne semble guère surprise. Son baiser volcanique n’en est qu’un pâle reflet. Même Hunk semble ne pas être autrement surpris quand je le désigne. Puis elle me fixe avant de me faire l’aveu que j’étais bien le premier mec qui n’était pas dégoûté par ses manières de pratiquer le sexe. Le dernier étant reparti chez sa mère en hurlant son nom.
Autour de la table de la cuisine, après avoir envoyé Hunk rejoindre ses congénères, une petite agape n’est pas de trop. Toujours à poil, nous étalons, sans complexe, nos confidences au grand jour. C’est dingue ce qu’on peut se ...
... confier quand on est à poil, on ne peut plus se cacher, c’est top. Du coup, j’y vais même de mes nouveaux fantasmes. Ainsi, je lui confesse vouloir la promener en laisse au milieu de sa meute de ses mâles canins en rut, et les voir tous, la prendre de partout. Les yeux de Colette sont illuminés à l’idée de subir mon fantasme. Je suis certain que si nous n’étions pas, autant, fatigués, elle m’entraînerait sur-le-champ parmi les enclos, et en laisse. Dans son lit, nous avons tout juste la force de baiser encore une dernière fois. Même si je bande mou, l’envie de la prendre est plus forte. Surtout que mon cerveau est en ébullition à l’idée de la voir se faire baiser par tous ses toutous. Même mes rêves sont remplis de chiens qui baisent Colette à tout va.
Au matin, c’est la langue de Hunk qui me réveille. Sur mon visage, Hunk s’en donne à cœur joie. Maintenant assis avec ma trique matinale, le chien se met à me lécher la queue et c’est très loin d’être désagréable. Même si j’ai un peu peur qu’il me la croque par pure jalousie. Colette vient se joindre à son chien. Elle me couche sur le dos, me pompe ma verge bien fièrement dressée. Pendant qu’elle me suce, le chien me lèche le fion. Des réveils comme cela, j’en veux bien tout le restant de ma vie. Pour tout dire, je me suis dit cette phrase, celle qui dit qu’aujourd’hui est le premier jour du reste de ta vie, la nouvelle.
Pour moi, snif, il est temps de rentrer, même si c’est à contrecœur. Notre séparation n’est pas la plus ...