1. Le chenil (1)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    Petit préambule. Je ne savais dans quel genre classer cette histoire tout droit sortie de ma tronche de frappadingue. Trash ou zoophile. Et j’ai choisi : zoophile, c’est ma première entièrement zoophile, je crois. Maintenant, à vous de voir et me dire tout le mal que vous en pensez. On se revoit à la fin ?
    
    La rencontre
    
    S’il y a une chose que j’adore par-dessus tout, c’est de me promener dans les bois. Surtout quand je suis stressé ou que des soucis m’encombrent la tête. Parfois, un arbre se prend toute ma colère à coup de poing. La forêt est un bon exutoire, un calmant hors pair. Il m’arrive de rester des heures assis au pied d’un arbre auquel je lui raconte mes déboires, mes bonheurs. Il m’arrive même de me foutre à poil et de déambuler ainsi en imaginant une femme délectable tout contre moi. Et puis, j’écoute aussi cette forêt; j’essaie de la deviner, de mieux la connaître. C’est normal pour un type comme moi, je suis menuisier-charpentier. Très souvent, il arrive que j’y croise des animaux, chevreuils, sangliers, oiseaux de proie; et tout ce qu’elle peut contenir comme animaux. Et puis, il y a ce que j’allais découvrir et qui sortait des chemins battus et qui allait bouleverser ma vie du tout au tout. Pourtant, ce jour-là, je n’étais pas au mieux côté humeur.
    
    Je venais de perdre bêtement un gros chantier.
    
    Bien calé contre un grand chêne; ce sont les grommellements d’un chien qui attirent mon attention; un bon gros chien; à entendre ses grognements, en tout ...
    ... cas, ce ne sont pas ceux d’un chien de chasse. Il n’est pas seul, en percevant cette voix féminine donner des ordres pas très loin de ma position. Et puis, il y a cet ordre : « Grimpe, baise ta chienne de maîtresse, Hunk ! » J’avoue que cela m’a surpris à plus d’un titre, mais pas que... Je me suis laissé guider par les gloussements que pousse cette femme, par les encouragements qu’elle donne à son chien. Je suis arrivé près d’une petite clairière, dans le sens opposé de cette petite brise. Je ne voulais pas que le chien me renifle.
    
    Et alors là, j’ai vu ! Pour cela, je n’ai même rien manqué. J’ai vu une scène que je ne pensai à voir qu’à peine rêvée, fantasmée. Mais là...
    
    Quand j’ai vu cette femme entièrement nue, à quatre pattes, avec son molosse de chien sur son dos et qui la baise, je suis resté sur le cul. La femme est à genoux; le haut du corps est posé à même le sol herbeux; le chien a ses pattes avant de chaque côté du corps de la femme, il lui lèche la nuque. Je suis resté sans voix, incapable de penser raisonnablement. La femme est belle, pulpeuse; la trentaine. Le chien s’active, tel un mec, en elle. Il a tout d’un chien très bien éduqué à la chose, car il varie son rythme sous les ordres de sa propriétaire. Soudain, je vois la femme se crisper, son corps se tendre et sa bouche s’ouvrir pour jouir merveilleusement. Je ne suis pas arrivé à trouver une comparaison raisonnable dans tout ce que j’avais déjà vécu. C’était à la fois dégueulasse à regarder et pourtant ...
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