1. Le chenil (1)


    Datte: 04/04/2019, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... agréable que j’ai vécu. Il en est de même pour Hunk qui s’approche de moi, tout larmoyant. Aux dires de Colette, ce chien m’a adopté. Cela rend cette séparation encore plus... Oui bon ! Sur la route du retour, je ne cesse de penser à cette femme et ses chiens. Les images les plus insensées, les plus délirantes ne cessent de perturber ma concentration. Chez moi, c’est encore pire. En bas, dans mon atelier, alors que je dois faire un cadre de porte en bois, c’est à peine si j’arrive à faire un montant correctement. Colette et Hunk sont en train de me rendre complètement fou. Il faut l’arrivée d’un client pour que je me souvienne que je dois travailler. Le client partit, j’ai l’impression que Colette est là, juste derrière moi. Mais non, il n’y a personne d’autre que le fruit de mon imagination. Pire, dès qu’un chien aboie dans le quartier, je crois entendre ou voir Hunk.
    
    Il me tarde d’être samedi, de faire ces cinquante bornes et quelques pour la rejoindre. Pire que tout, je les imagine dans le bois, dans cette toute petite clairière, baisant sans moi, tous les deux. Du coup; une feuille de papier, un feutre noir, un bout d’adhésif, un coup de téléphone, et me voilà en route. Je ne tenais plus en place.
    
    Je fonce comme un beau diable, un scénario bien ancré dans ma tronche. Il me tarde d’être près de Colette, de voir Hunk baiser sa maîtresse. À peine devant le chenil, devant la porte, je me saisis d’une laisse, d’un collier, et entre. Je la découvre nue, en train de faire ...
    ... son ménage. Je lui passe le collier, y accroche la laisse et l’entraîne dehors avant de l’embrasser copieusement. Hunk nous suit, branlant sa queue comme un métronome à pleine vitesse. Au milieu des enclos, je pousse Colette à se mettre à quatre pattes. Docile, elle ne se fait pas prier. J’ouvre la cage d’un doberman, le chien se fait doux, reniflant cette femelle. Il ne tarde pas à lécher son cul avant de la saillir tout en douceur. À croire qu’ils sont tous éduqués pour baiser des humaines. Hunk se met devant le visage de Colette. Cette dernière ne perd pas de temps. Sa bouche s’aventure sous le ventre du chien qui, très vite, bande. Colette le suce comme s’il s’agissait de moi.
    
    Quand le doberman se retire, c’est moi qui le remplace, n’y tenant plus. Je la bourre brutalement, sauvagement. Cela ne sembla pas déplaire à Colette qui m’encourage à me montrer encore plus violent entre ses cuisses. Une claque, une autre, une suivante qui en amène d’autres. La belle gardienne de ce chenil jouit comme aucune femme n’avait joui devant moi. Je jouis dans son corps merveilleux. Je jouis et me retire, une violente envie de pisser vient de se faire jour. Hunk vient de jouir à son tour. Il me fixe, je lui montre son coin, il s’en va la rejoindre, non sans avoir léché ma main. Tout le chenil aboie. Ma belle gardienne de chenil se retourne, devant ma queue, elle se met à la sucer. Je n’ai pas le temps de lui dire que je ne voulais que pisser. Elle se prend tout dans sa bouche. Si elle ...
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