Le jeu de la séduction
Datte: 30/03/2019,
Catégories:
fh,
fplusag,
extracon,
amour,
nopéné,
tutu,
amiamour,
Auteur: Lamoureux, Source: Revebebe
... amour.
— Tu es belle.
Mon ardeur te semble un peu trop pressante cette fois encore.
— Pas ici quand même !
Nous sortons. Nous allons chercher l’alcool qui va euphoriser notre fin de soirée. Tu me prends la main, et nous déambulons ainsi dans les rayons. Certains se retournent sur notre passage : est-ce extraordinaire de voir passer l’amour dans un lieu si banal, et si quotidien ? Je suis fier, d’être à côté de toi, et plus encore de te tenir la main.
— Tu sais que je ne lui donne jamais la main quand nous nous promenons.
— Je sais.
— Alors pourquoi j’envie de te la donner à toi ? De te montrer mon amour ?
Je ne sais pas quoi répondre, ou plutôt j’ai bien quelques idées, mais je ne veux pas ici et maintenant parler de l’autre. Nous sortons bien vite et regagnons l’appartement. Lorsque nous entrons dans le hall de l’immeuble, je te prends à nouveau dans mes bras. T’embrasse de nouveau. Mes mains te caressent par-dessus cette robe longue et légère, qui me permet de sentir l’épaisseur de tes sous-vêtements. Nous sommes collés l’un à l’autre. Dans ce lieu, où n’importe lequel de tes voisins pourrait sortir. On s’en fout.
Je viens poser mes mains sur tes fesses. Elles savent. Je suis pressé ce soir, je sais que nous n’avons que quelques minutes avant de monter les escaliers. Je vais à l’essentiel, et suis mon instinct. Je prends le tissu de ta robe longue, et la fais remonter lentement. Cela me rappelle une scène de ce vieux film de Lawrence Kasdan,La fièvre ...
... au corps, où William Hurt courtise Kathleen Turner : lors de leur première scène chaude il a ce même geste pour pouvoir la caresser, avant de la prendre.
La fièvre au corps… Comme la providence sourit aux amoureux, je peux voir le reflet de notre couple sur la vitre de la porte derrière toi. Cela me permet de voir tes mollets, puis tes genoux, et puis le début de tes cuisses. L’excitation est telle que mon cœur s’emballe, mon sexe est érigé, et tu ne peux que ressentir ce désir fou qui est le mien. Je continue à monter le tissu, et j’ai toutes tes cuisses devant moi. Que tes jambes sont belles. Les talons que tu portes ne sont pas hauts, mais ils permettent d’accentuer ton galbe naturel. J’avais regardé souvent ta silhouette fine et longiligne mais je suis encore surpris par tant d’élégance ; maintenant que tes jambes sont nues devant moi, je suis soumis à la beauté et à l’harmonie de ton corps, j’aimerais que le temps s’arrête pour en profiter.
Truffaut a raison qui dit « les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens lui donnant son équilibre et son harmonie ». Je ne veux pas m’arrêter là, et remonte encore un peu, je vois ta culotte simple, et blanche. Tu ne m’attendais pas là. Je continue jusqu’à la découvrir complètement. Mes mains quittent le tissu de ta robe, pour rejoindre tes fesses, elles viennent les caresser par-dessus le tissu, s’alanguissent, et puis curieuses et furtives passent dessous. Les voilà qui touchent ta peau. ...