1. Nuit sous un pont


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, prost, jardin, Oral nopéné, Auteur: Teddy_bear, Source: Revebebe

    ... surréaliste, moi le pantalon aux chevilles, la queue à l’air, en train de me faire lentement masturber face à face avec une belle prostituée dans un cagibis au fond d’un jardin abandonné.
    
    Je ne savais que faire de mes mains, alors je les posai sur sa taille. Elle eut un léger mouvement de recul, mais n’arrêta pas sa caresse. Je finis enfin par prendre de la vigueur entre ses doigts, et c’est ce moment qu’elle choisit pour me tendre à nouveau le préservatif.
    
    Elle quitta ensuite mes bras, pour attraper un coussin qu’elle plaça à mes pieds. Tandis que je pouvais maintenant dérouler l’enveloppe de latex sur ma verge en érection, elle se plaça à mes genoux, et entama sa fellation.
    
    Le premier contact de ses lèvres fut électrisant. La chaleur de sa bouche contrastait avec le froid alentour, et même à travers le plastique la sensation était plaisante. Elle commença par envelopper juste le bout, et entama un lent mouvement le long de la hampe. Centimètre par centimètre, je vis ses lèvres rouges gagner du terrain sur la longueur de mon sexe, et je me sentis gonfler au contact de sa langue.
    
    J’étais maintenant complètement tendu, alors que quasiment l’intégralité de mon membre avait envahi sa bouche. Toujours aussi lentement, la voilà qui recula, laissant une obscène traînée rouge vif, avant de me reprendre dans sa bouche. Je sentis maintenant sa langue s’activer par dessous, et mon souffle s’accéléra. Elle attrapa mon sexe d’une main, et commença à faire virevolter sa ...
    ... langue tout autour du gland, et son autre main ne resta pas inactive puisqu’elle se mit à me frôler les bijoux.
    
    Le rythme de croisière s’installa, et je vis son visage s’activer en cadence sur ma queue. Des bruits humides se firent entendre dans la pénombre de la pièce, et une main sur le mur, je ne pus m’empêcher de caresser ses cheveux d’une main qu’elle repoussa négligemment. En guise de punition pour mon geste, je sentis les ongles de sa main gratter légèrement mes testicules, et la réaction fut immédiate : je laissai échapper un grognement de plaisir. Petit à petit, je la vis avaler les derniers centimètres, et bientôt je sentis son nez buter contre mon pubis.
    
    J’accompagnais maintenant les mouvements de sa tête avec les hanches, et plaçai à nouveau ma main sur sa nuque, cette fois-ci sans réaction.
    
    Après quelques instants de ce régime, je fus en nage, toujours camouflé derrière mon écharpe, et je sentis que la température de la pièce était montée de plusieurs degrés. Je sentis ses lèvres me presser de plus en plus fermement, et lorsque qu’elle s’arrêta quelques secondes pour reprendre son souffle, je la vis me regarder par en-dessous, le visage barbouillé par son propre maquillage devenu anarchique. Le rouge vif s’étalait tout autour de sa bouche, elle avait les lèvres luisantes de la salive qui recouvrait mon sexe, et elle me souriait toujours comme si c’était vrai, comme si je n’étais pas en train de baiser la bouche d’une pute trouvée sous un pont. Je la trouvais ...