1. Nuit sous un pont


    Datte: 30/03/2019, Catégories: fh, prost, jardin, Oral nopéné, Auteur: Teddy_bear, Source: Revebebe

    ... coin, avant de se retourner et de commencer à se diriger vers l’ombre épaisse du pont.
    
    Je la suivis à quelques pas derrière, obnubilé par le bruit des talons sur le bitume et du frottement du nylon. Je pouvais maintenant respirer l’odeur qu’elle laissait derrière elle à chaque pas, et j’avais vu juste. Fruits et sucre.
    
    Elle tourna soudainement derrière un pylône de béton, où je m’empressai de la suivre, et nous continuâmes notre chemin en direction des habitations proches, bercés par l’obscurité. Rapidement, une haie mal entretenue apparut sur la droite et elle me fit signe en direction d’un trou dans le feuillage.
    
    Je m’y engouffrai à sa suite, débarquant dans un jardin visiblement abandonné, et jetai un coup d’œil autour de moi. Rien de plus qu’une maison tout aussi abandonnée, ainsi qu’une petite structure en bois, pas plus qu’un appentis, vers laquelle elle se dirigea. Un petit cadenas en fermait l’entrée, et je la vis sortir une clé d’on ne sait d’où. Rapidement, le clac du cadenas, puis elle m’ouvrit la porte et me dit :
    
    — Et voilà mon bureau ! en laissant échapper un petit rire.
    
    J’hésitai un instant à pénétrer dans la cabane, mais j’étais arrivé suffisamment loin pour ne plus reculer. Je rentrai donc, et sursautai lorsqu’elle claqua la porte dans mon dos. Je la perçus bouger dans le noir, puis le craquement d’une allumette illumina un angle du petit cagibis et me permit de distinguer l’intérieur. Un tapis, quelques coussins, une poubelle, quelques ...
    ... morceaux de tissus scotchés sur les fenêtres et enfin plusieurs bougies, dont l’une était maintenant allumée.
    
    Je fus surpris. Loin d’être agréable, l’intérieur était toutefois propre et sec, je redoutais un endroit sordide.
    
    Je la vis s’affairer à l’intérieur d’un sac pendu au mur, et en extraire un préservatif, qu’elle me tendit.
    
    — Tiens, c’est pour toi. J’espère que ça te va, c’est non-négociable.
    
    Surprise à nouveau. En y réfléchissant, c’était logique bien sûr, mais je n’avais pas beaucoup réfléchi avant de venir. Je restai comme une statue, l’emballage dans ma main toujours gantée.
    
    — Eh ben, dépêche toi. C’est la première fois hein ? Attends.
    
    Elle enleva son manteau, dévoilant une blouse de coton noir. Alors qu’elle s’approchait de moi, j’eus le temps d’apercevoir la pointe de ses petits seins tendre le tissu, avant qu’elle n’ouvre les bouton de mon blouson et attrape d’autorité le haut de mon pantalon.
    
    Elle déait rapidement ceinture, bouton et braguette, mais c’est moi qui réagis ensuite en attrapant les côtés du pantalon. J’effleurai au passage ses mains, qu’elle retira rapidement, et prenant une large inspiration, je descendis pantalon et caleçon jusqu’aux chevilles d’un seul mouvement, dévoilant au passage un sexe mou. J’étais trop déboussolé pour bander dans l’état actuel.
    
    Rapidement, elle attrapa le préservatif tombé par terre dans la manœuvre, puis commença à me caresser doucement de son autre main, toujours debout face à moi. La scène me semblait ...